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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 17:44

Publié chez Rackham, le héros est une BD en deux volumes, d’environ 250 pages chacun, narrant la vie du mythologique Héraclès.

Dans sa version, l’auteur espagnol David Rubín transpose les exploits du héros dans une Grèce mêlant Antiquité, époque moderne et technologie futuriste.

Ainsi, ne soyez pas troublé de voir des grecs en jupe avec des figurines DC comics et un projecteur holographique cubique dans le même temps, c’est l’univers que nous peint l’auteur. Univers dans lequel on rentre très facilement, faisant totalement fi des conventions temporelles qui nous horripilent parfois lorsque l’on remarque une

heros 04

montre au poignet d’un soldat dans un péplum.

 

 

L’histoire originelle de Hercule s’avère également un peu revisité mais les caractéristiques principales restent. Les douze travaux sont bien présents, dans l’ordre et surtout d’autres aspects moins connus nous sont narrés, com

me son parcours avec Iolaos ou son mariage avec Mégara. Placer cette épopée dans un monde semi-contemporain permet de critiquer notre époque, et entre autre, le processus de starisation par les médias.

 

 

Il aura fallu quatre ans à l’auteur pour finir son odyssée, six mois à l’écriture et le reste au dessin. D’ailleurs, le point fort de David Rubín réside dans son dessin, ses couleurs mais surtout dans la composition de ses planches. Ses découpages sont d’une riche intelligence, servent toujours l’action et insufflent une originalité à l’auteur.

 

 

 

 

heros 03

Je n’ai pu m’empêcher de vous montrer quelques exemples.

Tout d’abord, dès que ça castagne, les cases ne sont plus droites. Vous allez me dire que c’est un peu le b.a.-ba d’un dessinateur de savoir cela et je vous l’accorde mais ici, cela a été particulièrement travaillé.

Voyez cet effet où il dessine la partie interne d’un personnage pour montrer là où ça fait mal (procédé innovant qu’il affectionne et réutilise d’autres fois).

Souvent aussi, les onomatopées sont directement intégrées au dessin, soit pour servir de contour de cases, soit pour servir de contour à la matière déplacée.

 

heros 01

 

Pour enrichir l’action, il sort des conventions comme dans cette planche où les courbes des cases viennent renforcer le son des cloches.

heros 02

 

Dans cet extrait de double-page, au lieu de positionner en début de planche et à la suite les réactions des villageois face au taureau, David Rubín les intègre astucieusement dans deux énormes cases d’introduction à la confrontation sans que le lecteur ne se trouve gêné par ces incursions dans ces deux grands dessins. Le travail des couleurs sert de surcroît à bien différencier les gens de l’action et d’avoir deux lignes narratives différentes sur la même planche mais qui sont unies par un même élément perturbateur, le taureau.

 

heros 05

 

Bref, cette BD est d’une richesse graphique rare, hommage à Héraclès mais aussi, évidemment, et cela se voit dès les premières pages, aux super-héros de comics, à l’auteur Kirby et son Orion. De part son traitement et son format presque comics (un poil moins haut), il était donc tout à fait justifié de chroniquer cette histoire dans Chronicomics.

 

heros 07

 

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 17:17
Top Ten 09

 

 

 

Couverture : Dans les gradins, on peut distinguer, de gauche à droite, Liberty Belle de DC, juste en-dessous, peut-être The Beast des X-Men, une none (Areala ?), Luke Cage de Marvel, Modok de Marvel et un ersatz de Mysterio de Marvel,

 

 

Page 1 :

Case 1 : L’enfant qui vole est Zero, My Hero de Schoolhouse Rock.

 

Case 3 :Sur le mur : http://www.visi.com/~geneha est une adresse internet qui renvoyait à la page principale du dessinateur de la série Gene Ha.

On peut lire aussi « Balls by Bizarro » qui réfère à Bizarro, ennemi de Superman.

 

 

Page 2 : Cette page réfère à Fantastic Four #50 qui voit les Quatre Fantastiques affrontaient Galactus (représenté par le chat géant) et pour ça, ils sont aidés du Gardien (ici, la souris géante à la tête de Mickey Mouse et au corps des Eternels).

Pour le dialogue, « Cosmouse » est u jeu de mots entre cosmos et mouse. « The saturnian scraphunter » (sûrement au centre de l’image) équivaut au Martian Manhunter. Son « ultimate pacifier », en forme de souris d’ordinateur, est le « ultimate nullifier », arme utilisée par les Quatre Fantastiques contre Galactus et qui appartenait au Gardien. « Galactapuss » réfère à « Galactypuss », nom de Galactus dans Peter Porker the Spectacular Spider-Ham.

 

On y voit aussi en haut à droite une souris Wonder Woman, puis de gauche à droite, Batman et Robin, John Constantine avec sa clope et son manteau, peut-être Hercule de Marvel, Atomic Mouse, the Human torch, Danger Mouse qui porte un bandeau sur l’œil, Aquaman mais avec des ailes au pied comme Namor, Mighty Mouse en jaune et rouge, la Chose en vert et Mr Fantastic (la Chose semble avoir succombée),

 

 

Page 3 :

Case 4 : Sur le mur, « …verine has a prosthet… » doit référer à Wolverine et qui insinue qu’une autre partie de son corps serait faite de métal.

« the huntress has 2 fathers » réfère au passé de The Huntress chez DC.

 

Case 6 : « Power Pup » est le chien animé que l’on trouve en assistant dans Mircsoft Office 97 (à la place du trombone).

 

 

Page 4 :

Case 1 : Dans cette rue chaude de Néopolis, on a “Tools of Suspense” réfère à Tales of Suspense. “Journey into Mammary” réfère à Journey into Mystery. Ce sont deux séries du Silver Age de Marvel. Iron Rod et Captain R…  sont Iron Man et Captain America, qui commencèrent dans Tales of Suspense.

« Amazing Adult Fantasy Gifts » réfère à Amazing Adult Fantasy.

L’éléphant rose peut être vu comme une référence à Dumbo mais aussi comme le cliché de l’alcoolique qui verra un éléphant rose.

Les personnes dans la voiture sont les Forever people de DC. Il y a Mark Moonrider, Big Bear, Beautiful Dreamer et Serifan. Ils ressemblent aux gens de la série TV Beverly Hillbillies. Gene Ha les appelle « the Foreverly Hillbillies ».

La fille sur la droite semble manger une galce ressemblant au premier design de Iceman des X-Men, quand il avait juste des bottes et un corps en neige.

 

Case 2 : « Hydra : All u can see BU.. » Référence à l’Hydra de Marvel en arrière-plan et sûrement à la mythologie.

Peter parle de la mort d’Atoman. Ça réfère à la mort de Superman.

 

Case 3 : « Strange tails » réfère à Strange Tales, série Marvel des années 60.

 

Case 4 : « ourman opti… » réfère au héros Hourman de DC.

 

Case 5 : « Kang the caterer » réfère à Kang le conquérant, ennemi des Vengeurs.

 

 

Page 6 :

Case 1 et 2 : La mère porte le costume de Hourman(II) de DC et son fils a été transformé comme dans le film La mouche. Il a des frites W, comme Smax, dans l’épisode 6.

 

Case 3 : En bas à gauche, cinq versions différentes de Hercule (Marvel, DC, Charlton et la série TV Mighty Hercules).

Le super T-shirt qui parodie la phrase de Jules César « Veni, vidi, vici ».

Le personnage à l’extrême droite au T-shirt rouge et qui tient un livre ressemble à Cross-Time Caper vu dans Excalibur où il était un touriste inter-dimensionnel. Sa présence ici a donc du sens.

 

 

Page 7 :

Case 1 : Le chien est sûrement Cerbère.

 

Case 2 : Un centaure en arrière-plan.

 

Case 3 : L’officier est un satyre.

 

Case 4 : Un pégase.

 

Case 5 : Hercula est une version féminine d’hercule. Elle porte le lion de Némée. Briareus est Briaré (ou Egeon), un hécatonchire. « Praets » est le diminutif de « Praetorians ». Les prétoriens étaient les gardes de l’Empereur Romain.

 

 

Page 8 :

Case 2 : A l’extrême droite, un cheval de Troie motorisé avec écrit « Trojan ».

Juste sur sa gauche, en arrière-plan, la façade d’un Little Caesar pizza.

« Acropolis now », hommage à l’Acropole.

Devant, on a un géant qui serait peut-être Talos, le géant dans Jason et les Argonautes.

Les deux chevaux-poissons (des « Hippocampes ») sont des créatures de Poséidon.

Juste devant eux, on a deux esclaves ressemblant for à Alan Moore et Grant Morrison.

« MWA » signifie Minotaurs With Attitude et réfère au groupe de rap NWA. Les minotaures s’attaquent probablement à une vieille Xena.

 

 

Page 9 :

Case 1 : Comme dans la mythologie gecque, Atlas porte le monde sur ses épaules. Mais ici, il en fait son métier.

On peut voir aussi qu’il est interdit aux chevaux volants de déféquer en volant.

 

Case 2 : La colonne de gauche représente Thor à genoux avec un homme tenant un oiseau au-dessus de lui. La colonne de guahce montre Wonder Woman frappée.

 

Case 3 : Midas qui déconseille lui-même qu’on lui serre la main. C’est bien aimable si on ne veut pas mourir aussitôt.

 

Case 5 : Les gardes portent les deux masque du théâtre, la Tragédie et la Comédie.

 

 

Page 10 :

Case 1 : En haut à gauche, Rockeeter. Dans le fauteuil volant, Metron des News Gods de DC. Les deux robots du milieu pourraient symboliser les deux premières bombes atomiques dont les noms de code sont Fat Man et Little Boy. En bas de la case, avec le chapeau, on a Annihilus, vilain de Marvel.

 

 

Page 11 :

Case 6 : Sur le journal, « Miracle douche recall » à la League of Extraordinary Gentlemen  d’Alan Moore. En effet, en quatrième de couverture se trouvait initialement écrit « Marvel Douche » car c’était une réelle annonce victorienne. Mais DC l’a supprimé pour ne pas offenser son concurrent. On y voit aussi une référence à l’affaire Marvelman/Miracleman quand Marvel força Alan Moore a changé le nom de sa série Marvelman et qu’il choisit alors le nom de Miracleman.

Le nouveau cuistot pourrait s’appeler Burger Chef.

 

 

Page 12 :

Case 1 : La tête de Briareus rappelle la tête des Martiens verts dans les histoires de Edgar Rice Burroughs John Carter, Warlord of Mars.

 

 

Page 13 :

Case 2 : De droite à gauche : Les jumeaux sont Remus et Romulus, avec le symbole de la louve sur leur torse, Technozoic, Kid Sisyphe (qui manie mieux le rocher que l’original) et une caryatide. Quant à la femme qui se baigne, elle pourrait symboliser les bains que faisaient les grecs et romains dans de l’huile d’olive avant de la racler avec la serpe qu’elle tient.

 

Case 3 : Technozoic pourrait être une référence à Metalzoic chez DC.

 

 

Page 14 :

Case 1 : En haut à gauche, Starwoman, Cleopatra et Boucing Beatnik (cul nu), personnages de Astro City.

Les hawkbabies et Hawkwoman réfèrent sûrement au peuple de Thanagar de DC, d’autant plus qu’un des enfants a un marteau.

Hawkwoman apporte comme nourriture à ses petits « oiseaux » Mr Mind, vilain vu dans le Captain Marvel de Fawcett, plus précisément dans l’histoire Monster Society of Evil.

Les géants sont Elasti-Girl de la Doom Patrol du Silver Age chez DC, Stumbo le géant de Harvey et Goliath de Marvel en vieilli.

Celui qui nettoie le comptoir est le Knight Watchma, de Big Bang Comics.

La pub « Who’s Supreme now ? Omnimal ! »  réfère à la série Supreme où on y voit un personnage nommé Omniman.

 

Case 2 : Le « Fox Flare » du personnage réfère au Bat-signal de Batman. Ce personnage déjà vu deux fois (je vous laisse chercher si vous ne savez pas ou plus) se nommerait d’ailleurs Reynard (Renard, quoi).

Derrière Smax, à gauche, Concrete et à droite, Badrock des Youngblood.

 

Case 3 : « Tar babies » réfère aux histoires de Uncle Remus publiées en 1881. Un tar-baby est aussi utilisé quand une situation critique est aggravée par des contacts supplémentaires. Donc, en gros, croiser des tar babies, c’est augmenter ses chances d’être dans la panade.

 

 

Page 15 :

Case 1 : Au premier plan,  Dennis Franz et Rick Schroeder de N.Y.P.D. Blue.

Derrière eux, Dr. Spectro, vilain de Captain Atom dans les années 80.

 

Case 3 : Le t-shirt « underdog club » réfère au super-chien Underdog.

 

Case 5 : Hamburglar de McDonald’s que l’on voyait dans les pubs des années 90.

 

 

Page 16 :

Case 1 : Gene Ha dit que la majorité des personnages de cette case étaient déjà dans le script.

Au centre de la case, la vendeuse de pop-corn est la déesse romaine Cérès.

Sur sa gauche de haut en bas, on a deux spartes de 300 de Frank Miller, Léonidas et Ephialtes.

En-dessous, c’est Marvin le Martien et son chien K-9, vus dans les cartoons de Bugs Bunny.

Enfin, les trois dernières personnes sont Madeline Kahn, Gregory Hines et Mel Brooks du film The History of the World, Part 1 qui parodie les films de genre dont ceux situés à l’époque romaine.

Sur la gauche, de haut en bas, on a Ulysse 31, très connu sous nos contrées, pas du tout aux USA. A ses côtés, un mélange de Nexus et Cyclope. Au même rang, les squelettes de Jason et les Argonautes. Juste au-dessus d’eux, debout, sûrement les dieux Mars et Arès.

En-dessous des squelettes, Astérix, Obélix et Idéfix (mauvaise colorisation).

Les trois filles sont Etta Candy (avec la sucette) et deux autres Holliday Girls, du Golden Age de DC où elles assistaient Wonder Woman.

Enfin, la vache est Elsie the cow, logo de The Borden Diary Company.

 

Case 2 et 3 : Encore Kid Sisyphus et The Caryatid. Déjà expliqué en page 13. Noté que les caducées ont de vrais serpents.

 

 

Page 19 :

Case 5 : Dans les fenêtres du Club Eternal, il y a la silhouette des amoureux de la fin de Watchmen de Moore.

Sur la gauche, on a Marvin des Superfriends mais son « M » semble remplacer par un « N ».

Dans le buggy, on a Tinker, Mark et Debbie des Speed Buggy.

Les ours sont les Hair Bear Bunch face à un ersatz de Boucle d’or.

Et enfin, un type déguisé en Sailor Moon.

 

 

Page 20 :

Case 6 : « Logo the Living Billboard » réfère au personnage de Marvel « Ego the Living Planet ».

De gauche à droite, electrocutioner (à travers les stores), Annihilator, Iron Maiden et Rat-Man. Ce sont toutes des créations de Bill Willingham et trois d’entre eux apparaissent dans Elementals.

 

 

Page 21 :

Case 1 : « Pavo Rex » signifie « Roi Paon ». Les nubiens le soutiennent.

Sur la gauche, Isis de Mighty Isis avec son sceptre-cobra.

 

 

Page 22 :

Case 5 : Des analogues de Batman. En blanc, Nite Owl des Watchmen dans son costume arctique. En rouge, Owl-Man de DC (earth 3). The Midnighter de The Authority se cache de son copain Apollo au fond  à droite. Un vampire, peut-être Morbius de Marvel mais sans conviction. « Post human » réfère à la phrase pour Superhumains dans The Authority.

 

 

Page 23 :

Case 3 : Le magazine Better Homes and Hideouts a en couverture la Forteresse de Solitude du Superman du Silver Age, faite de glace (d’où la phrase d’accroche « Ice, Ice Baby » et l’autre « First look : Bratcave » pour la Batcave de Batman.

L’autre magazine est titré « Reality-Warping Polyhedrons » qui réfère au Cube cosmique de Marvel qui déforme la réalité.

 

           

 

 

Top Ten 10

 

 

 

Page  1 :

Case 1 : Les deux gangs d’enfants qui s’affrontent sont à gauche les Boy Commandos et à droite, les Newsboy Legion, tous es deux créés dans les années 40 chez DC par Jack Kirby et Joe Simon.

Sur la gauche, en bas se lit « Dream’s older » qui réfère à « Dream’s older sister », c’est à dire Death, dans la série Sandman et sa propre mini-série.

 

Case 2 : l’apparence de Mr Whiz est basé sur le Flash de Kingdom Come mais il serait aussi l’amalgame de Johnny Quick (par l’effet de persistance rétinienne) et The Whizzer par le lien originel avec le sang de Mangouste.

Les deux jeunes sur la droite sont Jan et Jayce de Space Ghost.

 

Case 4 : sur la gauche, Apollo et Midnighter testent des Poppers. Au milieu dansent Josie and the Pussycats. Juste au-dessus d’elle, Capitaine Caverne ! Captain Caveman en VO. Sur le podium, Dazzler et Emma Frost des X-Men. En-dessous d’elles, Frosbite de DV8. Les deux garçons sur la droite sont Northstar, de Marvel et Element Lad de la Légion des Super-héros chez DC. Les paroles de Dazzler reflètent le lien fait entre la communauté mutante et homosexuelle, ce qui tombe bien car la plupart des personnages de cette case sont gays.

 

 

Page 2 : L’un des lutins est la pâle Death, de DC. Au premier plan, l’on voit à peine Man Mazing, de DC.

Le personnage tout en haut avec sa fourche ressemble est Hot Stuff, chez Harvey.

Juste à côté de lui, il y aurait Quark, équipier de Longshot, chez Marvel.

Celui avec un chapeau serait issu de la série limitée des années 80 Nightcrawler de Dave Cockrum et serait un Bamph mais je ne trouve pas de preuve à ce sujet.

Le lutin avec des ailes et une robe ressemble à la Guêpe des Vengeurs. Celui à l’aspect démoniaque ressemble à Smee, créature de Promothea #1 et le lutin à la canne serait Mr. Mxyzptlk du Golden Age.

 

 

Page 3 :

Case 1 : Le lutin parlant ressemble beaucoup à Mephisto chez Marvel. Le lutin femelle pourrait être Amethyst, Princess of Gemworld chez DC.

 

Case 2 : Le lutin qui parle pourrait être Etrigan chez DC. Sa phrase complète est un palindrome.

 

Case 3 : Le lutin ressemble à Floronic Man de DC, celui de gauche à Dragon Man de Marvel.

 

Case 4 : Le lutin de droite ressemble à Eclipso de DC, celui qui parle à Szasz dans Supreme de Moore.

 

Case 5 : Le lutin du bas pourrait être un schtroumpf à cause de pantalon blanc.

 

 

Page 4 :

Case 2 : Kemlo porte encore un t-shirt en lien avec le mot chien, ici sur le film Ghost Dog/Way of the Samurai.

 

 

Page 5 :

Case 1 : L’employé de bureau shakespearien vu à maintes reprises comme deux-trois autres collègues moins faciles à repérer.

 

 

Case 2 : Le lutin commence sa phrase par le dernier mot entendu. Ici, il commence par « Catamite » qui signifie « garçon gardé de force par un homme mûr pour des activités sexuelles », ce qui veut dire que Smax les a traité de « catamites » hors dialogue.

 

Case 3 : Le lutin en haut à droite ressemble à Ambush Bug de DC. Celui du bas à un petit air du x-man Nightcrawler.

 

Case 5 : « G.O.J.O. Real American Coffee » réfère au comic book G.I. Joe dont le cri de guerre est « Go, Joe » et qui était présenté comme de « real american hero », de réels héros américains.

 

 

Page 6 :

Case 4 : Le personnage de droite est sûrement Néron.

 

 

Page 8 :

Case 1 : Le personnage à l’extrême gauche pourrait être Kilowog, Green Lantern. Sur la droite, le babru ressemble à Gnome des Super Friends. Derrière lui, un membre des Rocket Red et Scarecrow et sur la toute droite avec une tête sphérique, un des Residents vus dans Savage Henry.

 

 

Page 9 :

Case 1 : « It’s a king, isn’t it ? » réfère peut-être au style très Jack « The King » Kirby de la peinture murale.

 

 

Page 10 :

Case 2 : « Simbiote, we’re a part of your life », référence à Venom, ennemi du Tisseur qui de plus, est graphiquement représenté en arrière-plan du slogan.

 

 

Page 11 :

Case 2 : Le parfum « Joy » existe vraiment, il est très cher et est de Jean Patou. Une version moins chère existe, elle s’appelle « eau de », ce qui donne « eau de Joy » est sonne beaucoup comme la symphonie de Beethoven « Ode to joy » ou « Ode à la joie ».

 

 

 

 

Top Ten 11

 

Page 1 :

Case 1 : On retrouve les ouvriers vus dans la page 2, case 3 de l’épisode 2 avec The Ting, Swamp Thing, toujours le Thing mystérieux et en orange Doomsday. L’employé de bureau avec son œil dans le dos et déjà vu avant fait penser à un OMAC.

 

Case 2 : Petit problème chronologique puisque Traynor dit n’avoir qu’entendu parler du Parallèle Neuf alors que dans le premier épisode, il dit à Toy Box y avoir servi.

 

Case 3 : à gauche, trois autres ouvriers : Firelord et Terrax de Marvel et au-dessus, Johnny Thunder de DC.

La femme pourrait être Wonder Woman quand elle perdit ses pouvoirs (WW #178).

Le cerveau vient du film The Brain from Planet Arous.

« Turingville » réfère au mathématicien Alan Turing qui proposa le Test de Turing posant les bases de l’intelligence artificielle.

Sur les étagères, on voit le livre « Engels and Marx » qui est probablement le Manifeste Communiste de Karl Marx et Friederich Engels. En-dessous un livre dont on lit « PD BLUE », sûrement pour la série TV NYPD BLUE.

 

Case 4 : Les trois personnages sur la gauche viennent des « Comics’ Greatest World » de Dark Horse. On a ainsi Rebel de Golden City, Grace de Catalyst : Agents of change et Titan de Will to power.

 

Case 5 : Les personnages à droite sont les personnages de la série Elementals. On a de droite à gauche, Shapeshifter, Vortex (en vol), Fathom, Monolith et Morningstar.

 

 

Page 2 : Joe Pi frappe par son allure à la Goldorak/Transformers. Il est clairement inspiré des Mecha issus des mangas. Son prénom, Joe, pourrait venir d’une histoire de Murray Leinster publiée en 1946 et titrée « A logic called Joe » où un ordinateur devient conscient. Pi comme le chiffre primordial dans les calculs en lien avec des cercles.

Gene Ha dit s’être inspiré du mangaka Go Nagai et de ses travaux sur Mazinger (dont Goldorak), des jouets Shogun Warriors et de la série TV Ultraman.

 

 

Page 5 :

Case 2 : Le morceau de lettre entrevu est du faux-runique (comme le sceau cacheté de la lettre en case 1 où on voit un M pour Macksun) et on peut lire comme adresse « Macksun, Top Ten, Neopolis ».

 

 

Page 6 :

Case 2 : Un joli décor avec des oiseaux géants sculptés de la famille des Ciconiiformes mais je ne vois pas de référence. Sur les trois personnages en vol, à gauche, on aurait un des Knights of Wundagore de Marvel et au milieu, sans aucune convivtion, Plant Man de Marvel.

 

Case 3 : Sur la droite, les enfants volants sont les Power Pack de Marvel. « There’s Cassandra » réfère à Cassandra Chalice, personne habitué à poster des messages chez DC. Gene Ha utilise Top Ten pour saluer ces réguliers de la messagerie.

« Plastic Stan Furniture » mêle Plastic Man de DC à l’Excelsior Stan Lee (dont on voit la tête dessinée). Le mix entre les deux vient du fait que Stan Lee fut considéré comme un vendeur ambulant ces dernières années et que Plastic Man a tendance à se transformer en objets pour espionner des personnes.

 

Case 5 : En jaune, Urine-man est un pastiche de The Whizzer de Marvel.

Le costume de Spider-Man dans la poubelle signifierait que l’homme en vert qui s’en va est Peter Parker, comme dans la couverture de Amazing Spider-Man #50.

L’homme endormi devant la poubelle pourrait être Bucky.

Pour les graffitis, on lit tout en haut sur la gauche « Fuck The police », « Ultra the multi-skrull goes 4 ways » pour Ultra the multi-alien de DC et ses quatre façons de se transformer.

« One flesh » réfère au groupe anti-robot de Néopolis dont Peter parle plus tôt.

«  I… Venture Capital » pourrait référer à la série de DC I, Vampire en comparant les capitalistes qui vampirisent la gens aux vampires proprement dits.

 

 

Page 7 :

Case 2 : Sur la toute droit, on a Robotman de la Doom Patrol durant le run de Grant Morisson.

A sa gauche, c’est Perry, le tueur androïde de la mini-série Elektra : Assassin avec sur son épaule Chuck, nain bleu serviteur de The Beast.

Sur le mur, « Tetsuo, number 41 » réfère à Tetsuo, personnage de Akira dont le nom signifie « Homme de fer » et qui portait le numéro 41.

Sur la gauche, le personnage me fait penser à un chevalier des Monty Python  dans Sacré Graal.

 

Case 3 : Peter dit : « Hey, Joe, where ya goin' with that battery up yer butt?" » qui réfère à la chanson de Jimi Hendrix « Hey Joe » où il chante « Hey Joe, where ya goin' with that gun in your hand ».

 

Case 4 : Le mort est Dr. Incredible vu dans le premier épisode.

 

Case 5 : Sur le mur, on lit dans un style funky « Funny Flashman » qui réfère à Funky Flashman chez DC.

Le terme de « Spambo » renverrait aux insultes « Oreo » ou « coconut » que l’on retrouve entre noirs quand un noir est jugé blanc à l’intérieur par des personnes sa communauté. Entre asiatiques, le terme de « Banane » est utilisé. Ainsi, Spambo voudrait dire « Métal à l’extérieur mais chair à l’intérieur ». En plus, « Spambo » ressemble à l’insulte « Sambo ».

 

 

Page 8 :

Case 2 : Le robot à tête de TV est Walter the Wobot de Judge Dredd. Normalement, il est écrit « I’m Walter Try me » sur son corps mais là on peut lire « I’me Wheely Wong Try me ». Il y a peut-être un jeu de mots entre Wheely et Willy et il existe des « Willy Wong ».

 

Case 3 : Le terme « Clicker » est une insulte anti-robot dans le film de 1962 Creation of Humanoids.

 

Case 5 : Gene Ha dit que le chimpanzé est Wonder Chimp d’un comic strip.

 

 

Page 10

Case 1 : Les trois hommes en combinaison sont des voyageurs à travers le temps vus dans Miracleman de Moore.

Derrière le roi Paon pourrait être Johnny Beyond et la fille de la bd 1963.

Les personnages qui grimpent les escaliers et sont au même niveau sont Wonder Dog, Wendy et Marvin des Superfriends.

Dessous eux, c’est l’auteur Scott McCloud avec l’éclair, ses lunettes et sa chemise à carreaux.

Assis sur les marches, c’est Cartman de South Park. Il mange des Cheezy Poofs.

La statue ressemble à Storybook Smith de Judgment Day de Moore.

Les trois personnages en haut à gauche seraient Tank, Rainbow et Surge des DNAgents.

 

Case 2 : Les deux véhicules garés viennent de Star Wars et sont un sand skiff et un Sorosuub X-34 Landspeeder.

Les personnages sur la droite sont des clones de Andy Warhol dans MiracleMan. Le mot « Kimota » sur le tee-shirt de celui de gauche réfère aussi à cette série.

A droite de la tête du roi Paon sont Rif, son lézard, Zoe et Torg avec son lapin de Sluggy Freelance dans une aventure où ils sont des versions alternatives d’eux-mêmes.

La vieille femme doré est la tante May de Spider-Man dans Marvel Team-up #137 où elle devient Golden Goldie, hérault de Galactus.

Sur la droite, sur les cinq personnages autour de Syn, on en a trois (Tank-Man, the Commander et un analogue de Hulk) de The Authority et deux (Power Princess et Hyperion) de Squadron Supreme. The Commander a bouché le trou derrière son pantalon, c’est là que Midnighter lui a enfoncé un truc métallique en représailles.

 

 

Page 11 :

Case 1 : Fry, Leela et Bender de Futurama !!!

 

Case 3 : Sur la gauche, en vol, Meester Easter vu dans l’épisode 1.

Celui qui ressemble à Popeye est Captain Strong vu le comics Superman des années 70.

Dessous lui, c’est le petit monstre de Leela, Nibbler, de Futurama.

A côté de Nibbler, on a Zha-vam, torse nu, analogue de Captain Marvel aussi dans Superman des années 70.

Le personnage papal ressemble à Battle Pope.

Le premier taxi semble basé sur la Supermobile de Superman durant le Silver Age avec ses bras et poings fermés sur les côtés.

Mary Poppins en plein ciel pousse la capsule-poussette de Kal-L, futur Superman.

Sur la droite, c’est Blue Falcon et son chien Dynamutt du cartoon Blue Falcon.

 

Case 4 : Le chauffeur est Space Cabbie de DC.

 

Case 5 : Sur la gauche, c’est l’Homme Absorbant de Marvel, à droite encore les personnages de Futurama. Au milieu, Peut-être Anakin Skywalver dans son vaisseau de course dans La Menace Fantôme et derrière une parodie des terroristes, chez Marvel, de l’AIM où il font partie ici du « Agricultural Implement Mechanics ». Enfin, les Sidekix rendent hommage en chanson à leur ami disparu.

 

 

Page 12 :

Case 1 : Les deux hommes bandés en bas à gauche sont Negative Man de la Doom Patrol et L’homme invisible (on ne voit pas l’oreille qui soutient la branche de lunettes) de la League of Extraordinary Gentlemen.

Juste à leur droite, les trois personnages amateurs de casseroles sont Red Tornado (I) de DC, Forbush Man de Marvel et, selon Wizard, Captain Clark de Mad Magazine.

A l’avant-plan, on a Le Docteur de The Autorhity.

Sur la droite, Dr. Fate de DC, Dr. Strange (Marvel) dans sa tenue de chrirugien mais avec l’œil d’Agamotto sur la tête et des gants distincts et  peut-être le Dr. Doom de Marvel avec ses gros gants gris. Il est plaisant de penser qu’ils parlent tous les trois de la chirurgie reconstructrice du visage du Dr. Doom.

Au milieu, en arrière-plan, on a Tarzan, Zok le dragon de The Herculoids ; l’avion du baron dans les Fous du Volant de Hanna Barbera. Gene Ha dit que le robot est un Easter Egg mais ça reste mystérieux.

Sur le tableau, « Soylent Green » réfère au film éponyme de 1973.

 

 

Page 13 :

Case 3 : Dr. Who (le quatrième joué par Tom Baker), Dr. Fu Manchu vu dans la League of Extraordinary Gentlemen et derrière, les américains pensent à des versions obèses du Dr. Manhattan de Watchmen, sans conviction pour ma part.

 

Case 4 : La dame en blanc pourrait être l’infirmière/assassin de Daredevil : Born Again. Gene Ha dit qu’elle devrait avoir les cheveux rouges et qu’elle est un Easter Egg.

 

Case 6 : D’un côté, le squelette en adamantium de Wolverine, de l’autre, le reste de son corps.

 

 

Page 14 :

Case 1 : A gauche pourrait être un Dieu Hindou ou Balinais. A droite, le Dieu scandinave manchot est certainement Tyr.

 

Case 3 : Shirley parle de Harley qui réfère au serviteur robot Herbie des Quatre Fantastiques.

 

 

Page 15 :

Case 2 : Un poster montre les Sidekix grimpaient à l’horizontal un mur, comme dans la série TV Batman des années 60.

 

Case 3 ; Le poster sur la gauche réfère à une campagne publicitaire Calvin Klein controversée car la pose était sérieusement tendancieuse, de nature pédophile. Cela correspond bien à la suite du récit.

 

Case 5 : Le fait que The Kingfisher est plus d’un sidekick réfère à Batman et ses multiples Robin.

 

 

Page 16 :

Case 2 : Derrière la porte sont Kato et Le Green Hornet. Sur la droite, c’est un personnage Tv, dixit Gene Ha, et il viendrait de Greatest American Hero.

 

 

Page 18 :

Case 4 : Voir la fin de l’épisode 12 de Top Ten et la série 49ers.

 

 

Page 19 :

Case 2 : Ce terme de « Chicken » existe vraiment. Là, parce qu’ils ont des superpouvoirs, ils deviennent des “Chicken Supers”. A noter qu’un « chickenhawk » est un adulte pédophile. Il « chasse » les « Chicken » (hawk = faucon).

 

Case 5 : Atomaid est l’analogue de Supergirl et Pup de Robin.

 

 

Page 20 :

Case 1 : En haut à gauche, Casper le petit fantôme et ses oncles.

En-dessous, la belle Ghost de Dark Horse, avec peut-être Wotan de DC ou le Spectre des Mighty Crusaders des années 60 chez Archie.

Celui avec ses bandelettes qui se gratte la tête est le Unknown Soldier chez DC.

Ceux qui sortent de terre sont The Spirit et son acolyte Ebony, de Will Eisner.

Une version monocycle du Ghost Rider !

Flottant dans les airs, Deadman de DC.

Les deux au fond seraient Sean Knight du comics Mage: The Hero Discovered et Polychrome de Nocturnals.

 

Case 2 : L’homme qui fume à gauche est Carl Kolchak des téléfilms The Night Stalker.

« D.O.W. Defensive Organic Weapons » correspondrait au personnage « T.A.O. » des W.I.L.D.Cats de Moore.

Les tombes « Xavier, Reed Richards, Scott Summers, Warren Worthington III, Kurt Wagner » rappellent une scène de Days of Future Past publiés dans X-men #141 et 142.

La tombe Elektra, revenue à la vie.

Devant la tombe HALL, elle réfère à Hecor Hall, le Silver scarav devenu un fantôme puis Dr. Fate chez DC.

 

Case 3 : Le Preacher de la série éponyme prêche, logique.

 

 

Page 21 :

Case 1 : Mickey Millions réfère à Richie Rich de Harvey. Roy Radium, probablement à la BD It’s Science! With Dr. Radium qui avait comme assistant un dénommé Roy.

Ai-je besoin de vous dire qui est Lara Croft ?

 

Case 3 : Oscar Wilde près de la tombe à son nom. Cet édifice est d’ailleurs le monument Epstein au cimetière du père Lachaise à Paris. Oscar Wilde ressemble tout de même fortmeent au personnage Luther Arkwright. Pourtant, il y aurait une blague si c’était bien Oscar Wilde car il est devant the Hanged Man d’Astro City (ou Well Endowed, c’est à dire le « bien monté »). Et Comme Wilde est homosexuel, ça ne le gênerait pas.

 

 

Page 22 :

Case 4 : En vol, ce sont les Powerpuff Girls.

Sur la droite, les gens sur le trottoir sont Groo the Wabderer, le ménestrel et le chien Rufferto, personnages Sergio Aragones et Mark Evanier. La présence d’un calice taggé sur le pilier le plus proche d’eux laisse à penser qu’ils viennent d’un Easter Egg proposé par Cassandra Chalice à Gene Ha.

« Dubya » et « Boy Gorge » correspondent au « Commander in thief » George W Bush.

“Justice League of Akron” réfère à la JLA et à un événement DC où on peut crée différentes JLA. Il n’y a que la signification du « A » qui change.

« Garanimal Man » réfère à Animal Man de DC et aux vêtements pour enfants Garanimals.

« Vikin luvs His Mother’s box » réfère à Vykin des Forever people et l’attention qu’il porte à la Mother Box dans la série.

« Class of 63 » réfère à la série 1963 de Moore.

 

 

Page 23 :

Case 2 : Le petit tableau présente un homme semblant porter un « A » sur son torse, comme First American dans Tomorrow Stories.

 

Case 4 : La poupée sous la table serait Power Ring de Pré-Crisis Earth-5 et serait là encore un Easter Egg.

 

 

 

 

Top Ten 12

 

 

Couverture : Kemlo porte un tee-shirt de la PETA.

 

 

Page 1 : La narration est un pastiche des cartoons et comics des années 60 quand les personnages résumaient leur histoire à la fin et où le jeune héros finissait sur un bon mot.

Pour rappel, les Sept Sentinelles correspondent à la JLA.

The Scarlet Sceptre est Green Lantern. Il s’appelle James NILE. Nile est une rivière comme Jordan du Green Lantern Hal JORDAN.

The Black Boomerang est Green Arrow. Son de famille est MARCHIONESS, soit marquise ; celui de Green Arrow est Queen, soit reine

Atoman est Superman. Il se nomme Craig, prénom monosyllabique comme Clark.

The hound (le chien) est Batman.

The Sizzler est Flash.

Sun Woman est Wonder Woman.

M’rggla est Martian Manhunter.

Kingfisher est Aquaman.

Davy Jones pourrait être Hawkman.

 

 

Page 2 :

Case 1 : Le projecteur est la tête du cyborg Dalek dans Dr. Who.

Le « satellite sentinelle » réfère au QG satellite de la JLA.

 

 

Page 3 :

Case 3 : Nox, the Nebula Drinker réfère au Sun Eater de DC.

 

 

Page 4 :

Case 1 : Un concert sur un toit comme les Beatles l’ont fait avec « Let it be ». Les membres de ce groupe, les Blues Bee…tles, sont Ringo version Yellow Submarine à la batterie, the Beetle de Marvel, the Blue Beetle de DC et pas extension, le G.I. ne peut qu’être Beetle Bailey.

En arrière-plan, le Sanctum Sanctorum de Dr. Strange de Marvel.

 

Case 2 : Sur le mur, « Sigue Sigue Robotn » qui vient du groupe de musique des années 80-90 Sigue Sigue Sputnjk, nom référence au livre A Clockwork Orange.

« Tex » pourrait référer à la BD italienne Tex éditée par Sergio Bonelli Editore.

 

Case 5 : Les problèmes de continuité renvoient directement à Crisis on Infinite Earths et Zero Hour de DC.

 

 

Page 5 :

Case 1 : En bas, « Yellow Bastard » qui réfère au personnage éponyme de Sin City.

 

Case 5 : En violet et vert, « Poppupian » réfère au personnage de Marvel Impossible Man qui porte les mêmes couleurs.

« Mean Machine » réfère à l’ennemi de Judge Dredd.

 

 

Page 6 :

Case 1 : Sur le trottoir, le Détective chimpanzé Bobo de DC.

 

 

Page 7 :

Case 6 : La blague de Joe réfère à Star Trek où le super-ordinateur tente de réponde aux questions de Kirk.

 

 

Page 8 :

Case 1 : Le journal s’appelle le « Nova express » qui réfère au roman Nova Express de William S. Burrough. Le logo dans le « O » réfère au personnage de Marvel Nova. Ce nom de journal a, en plus, déjà utilisé dans Watchmen. Les gros titres sont « Golden Age and Modern Clinton Team Up » et basés sur un vieux article dans The Onion. La parodie du titre réfère aux team-ups entre les deux Flash, les deux Green Lanterns, etc.

 

 

Page 9 :

Case 1 : « Cephalo the Subjugator » réfère à Starro the Conqueror, ennemi de la JLA.

 

Case 4 : En VF, ce n’est pas perçu, mais en VO, on a « short-eyes » qui, en argot, veut dire violeur d’enfants.

 

 

Page 10 :

Case 2 : La faiblesse du Scarlet Spectre à l’hyper-radiation réfère à la faiblesse au jaune du Green Lantern.

 

 

Page 11 :

Case 1 à 4 : Les paroles de la chanson “Like a Pistol » réfère aux stéréotypes sur les super-vilains. Le groupe des Snoopy Girlfriends référe aux femmes fortes que sont Lois Lane ou Vicky Vale, etc.

Le fait que la chanson continue en page 12 rappelle la série TV Homicide : Life on the Street où souvent la musique est présente pendant les séquences d’action et où les paroles remplacent les dialogues possibles.

 

 

Page 12 :

Case 1 : Les peintures murales grecques renvoient aux vieux aspects sexuels et pédophiles dans la Grèce Antique. Ça colle avec Sun Woman qui a un nom grec, Delia Spyros.

 

Case 2 et 5 : Les jeunes filles rappellent les Holliday Girls de Wonder Woman.

 

 

Page 13 :

Case 1 : En vol, on a un des Super Trio de  Big Guy & Rusty, la voiture du cartoon de Hanna Barbera The Impossibles, la fille-gargouille de Omega Men de DC et Gigantor/Tetsujin 28.

Le logo de l’immeuble des Sept Sentinelles croisent la lettre S avec le chiffre 7.

 

Case 3 : Ils ont, comme la JLA, un espace pour leurs trophées et la même habitude de déménager pour avoir plus  de places.

On y voit d’ailleurs un mix entre Hulk et un Cthulhu et peut-être, le bateau de Horus Lord of Light.

 

Case 4 : Richie « Taps » Minelli rappelle Snapper Carr du Silver Age de la JLA.

 

 

Page 14 :

Case 5 : Scarlet Sceptre porte une version miniature de son sceptre autour du cou.

La statue en arrière-plan montre un enfant enlevé à sa mère.

 

 

Page 15 :

Case 5 : Sur la toute gauche, « Jonah Hex Mex », un restaurant mexicain qui fait le lien entre la sauce Tex Mex et le cowboy Jonah Hex de DC.

« Green Apple Green Grocer » réfère au comic book Green Lantern/Green Arrow fait par Neal Adams et Denny O’Neil (d’où la petite ligne « Neal O’Neil »).

« Good Vibranium » réfère au super-élément du Wakanda qu’est le Vibranium qui absorbe les vibrations et à la chanson « Good Vibration ».

En bas à droite, les enfants de Cloak et Dagger de Marvel.

 

 

Page 16 :

Case 3 : Certaines personnes trouvent que le majordome de Lomax ressemble à Michael Cough qui joue Alfred dans les derniers Batman. Perso, je ne trouve pas.

 

 

Page 17 :

Case 5 : La niche du chien a une salle des trophées et des costumes selon la situation, comme dans la Bat-cave de Batman.

 

 

Page 18 :

Case 1 : La Hound-mobile avec son « H » sur le capot. Des objets analogues à ceux de la Bat-cave : Un Penny géant avec écrit dessus « My name is Rex » (double-sens de Rex comme Roi et Rex comme nom de chien), une poupée géante à la place du T-Rex géant, une galerie de méchants analogues du Riddler, de ??? (Ras’al Ghul ou Joker) et du Pingouin sauf que ce dernier est Jack-a-Dandy de la série Supreme de Moore.

L’éléphant rose vient de Killing Joke de Moore, œuvre sur Batman et le Joker.

 

 

Page 20 :

Case 2 : Dans le magasin, on a beaucoup de choses en lien avec la super-vitesse. Mais les numéros des allées sont écrits avec dessinées dessus cette impression de vélocité. Il traduit les magasins servant à faire ses courses le plus rapidement possible.

Dans les aliments, on peut d’ailleurs voir indiquer le con des produits « Hi-Cal », hyper-calorifique, à contrario de ce que l’on trouve habituellement, les produits « Lo-Cal » qui contiennent très eu de calories. Mais, du « Hi-Cal » quand on court à super-vitesse, ça semble être une nutrition appropriée dans un « Quick-Shop ».

Une pub au fond du magasin dit : « Slik Willy : No friction spray » qui réfère à un surnom pour Bill Clinton. La partie avec « friction » réfère autant à Flash qu’encore à Clinton avec les petites frictions buccales qu’il a « subi ».

« Stuffit Ring : Holds up to 5 cu .ft » réfère au costume du Flash du Silver age contenu dans une bague.

« General Immortus » réfère à l’ennemi immortel de la Doom Patrol du Silver Age. La référence est couplée avec un logo dessiné comme celui de la compagnie GE, peut-être GI.

On lit qu’à Néopolis, on peut acheter de l’alcool à partir de 23 ans (voir la date de 1978 et la date de publication en 2001).

En-dessous, on peut acheter des tickets de loto et des jeux à gratter avec le logo des Quatre Fantastiques.

Les personnages sont un Flash violet, la femme et l’homme bioniques de L’homme qui valait trois milliards, Le Kid Flash « El bandito » de Kingdom Come, Frito Bandito, Speedy de la marque Alka-Seltzer et enfin tout au fond, on voit le haut de la tête de Quicksilver reconnaissable à sa mèche.

 

 

Page 21 :

Case 2 : En vert, la voiture de Diabolo et Satanas des Fous du Volant.

 

 

Page 23 :

Case 1 : On voit ici un des super-pouvoirs les moins exploités de Superman et Supergirl : le super-ventriloquisme.

 

Case 2 : Atoman (nom d’un réel héros du Golden Age) dans sa forteresse de la solitude.

On voit une statue du couple de fermiers qui l’a recueilli.

A côté, un livre géant comme avait le Superman pré-crisis dans sa Forteresse où il y rédigeait ses pensées en kryptonien.

Au-dessus, le poster d’Atoman avec la bombe est caractéristique des pauses dessinées par Shuster.

En bas à droite, une cloche en verre remplie d’eau (on voit un cétacé à l’intérieur) et des bouts de gratte-ciels. C’est sa cité de Kandor personnelle.

La statue de bronze représente Geezer, vu dans Superman #25 (1943).

L’armure japonaise peut rendre hommage à la tenue guerrière que garde Superman dans sa Forteresse de la Solitude. Elle vient du film Brazil de Terry Gillian.

 

 

Page 24 :

Case 3 : « M . Mallah Brasserie » réfère à Monsieur Mallah (en VO), gorille super-vilain de DC. Et avec un nom écrit en français, il est normal de tenir une brasserie.

Sur la gauche, un véhicule des Fous du volant.

 

Case 4 : Porte invulnérable comme la Forteresse de la Solitude de Superman.

 

 

Page 25 :

Case 2 : « Stanley Lieber’s Hyper Bowling » réfère à Stanley « Lee » Lieber et sa tendance à l’hyperbole.

« Amazo copying » réfère au vilain Amazo qui copie les pouvoirs de la JLA.

 

Case 3 : Les lois d’Asimov de l’auteur Isaac Asimov semblent en vigueur sur le parallèle 9 mais pas le 10.

 

Case 5 : Les trois costumes sur la droite sont celui de Mr. Mxyzptlk, Judy Jordan (analogue de Lana Lang dans Supreme) et peut-être le personnage de cartoon Yosemite Sam.

 

 

Page 26 :

Case 1 : La vulnérabilité de Atoman à plusieurs « couleurs » de sons correspond à la vulnérabilité pré-crisis de Superman à plusieurs « couleurs » de kryptonite.

 

Case 2 : La chambre des sons est analogue à la chambre de Superman qui a des échantillons de Kryptonite.

 

Case 6 : Le bout de charrue sur la droite pourrait être la même que celle à la fin de Kingdom Come.

 

 

Page 27 :

Case 5 : « My stereo » déforme le nom de « Mysterio », méchant de Marvel dont le casque et la boucle de ceinture servent de logo au magasin.

 Le camion doit se nommer « Evel Knievel », du nom d’un motard américain dont le costume était orné d’étoiles, comme sur le camion.

 

 

Page 28 :

Case 4 : Sur la toute gauche, ça doit être Skurge de Marvel qu rentre dans le commissariat.

Les trois personnages au centre sont Screwball, Jackpot et The Shoveler du comics Mystery Men.

Le personnage arrêté serait H.R. Pufnstuf et les policiers comme Cling et Clang, de la même série TV pour enfants.

 

 

Page 29

Case 1 : Sur la droite, un mix entre Daredevil et Blue Devil.

 

Case 2 : A droite, dans le fauteuil roulant, c’est le Dr. Strangelove du film éponyme et à ses côtés, une sorte de Dr. Octopus, peut-être.

 

Case 3 : Eddy Murphy en Dr. Dolittle, tout comme l’acteur Rex Harrison sur la droite.

Entre les deux, ça doit être Man-Wolf de Marvel.

 

 

Page 30 :

Case 1 : Sur la toute droite, c’est Laura Merkel de la BD Why I Hate Saturn. Elle lit The  Neopolitan.

L’homme prêt du panneau Stop qui tient un enfant est Reuben Flagg de American Flagg.

L’homme à côté, qui plie les genoux, est C.K. Blitz de American Flagg mal colorisé avec, à ses côtés, deux lampadaires Hi-Tech et garde du corps nommés Bert et Ernie.

Quant au chat avec eux, ce serait le chat Raul là aussi extrait de American Flagg.

Le restaurant « Topo’s » vient du partenaire de Aquaman qui était une pieuvre !

Les personnages sur la gauche sont Kirby Hero et Joe Phat du comics Mage.

Les trois du milieu sont Sean Knight, Edsel et de dos Kevin Matchstick, aussi de Mage (voir la couverture 11 de cette série).

 

Case 4 : Le personnage de gauche est Orka de Marvel.

 

Case 6 : Son Goku prépare les plats en cuisine.

 

 

Page 31 :

Case 4 : « Château Nefaria 1975 » sur la bouteille. Nefaria réfère à la famille Nefaria chez Marvel.

 

 

Page 32 :

Case 1 : Les Skyhawks font penser à la BD Blackhawk sur les pilotes de chasse.

 

Case 5 : Sur la gauche, on a les personnages de Oz, TikTok, le cervidé The Gump, dorothy et Jack Pumpkinhead.

Juste à côté, c’est le Great Glass Elevator de Charlie and the Great Glass Elevator qui poursuit les histoires de Charlie et Willy Wonka après qu’ils aient fichu du chocolat partout.

Juste à côté, Peter Pan, Tinkerbell (Clochette pour chez nous), Wendy, John et Michael Darling, sortis de Peter Pan.

En-dessous, la voiture de Chitty Chitty Bang Bang.

Au-dessus, Elliot fait un tour de vélo avec son pote extraterrestre dans E.T..

Et enfin, en avion, le héros Maurice Sendak dans In the night kitchen.

 

On note que cette dernière case a pour thème les contes féeriques pour dire que chez Traynor et Wulf, c’est une vie rêvée, heureuse. Une jolie fin pour cette incroyablement dense série.

 

 

 

 

Deadfellas

 

En bonus, les références issues de l’histoire de Top Ten parue dans le America’s Best Comics de 64 pages, traduit et publié dans Top Ten 2 chez Semic.

 

 

Page 1 :

Case 1 : Si Nicky Mnemonic fait croire qu’elle utilise un ordinateur alors qu’il ne marche pas et qu’elle n’en a pas besoin pour tout enregistrer, c’est plutôt pour cacher ses pouvoirs aux clients de ses patrons qui passent parfois dans leurs bureaux.

 

Case 2 : Les symboles sur son crâne sont ceux des Cd et radiocassettes : Lecture, Stop, Enregistrer, Rembobiner,…

Ce bureau d’avocats est présent dès Top Ten #1.

 

Case 3 : Le « cowboy » devait être Dust Devil.

Nicky est mariée (bague case 1) et à des enfants.

 

Case 4 : Entrée de Denzil Metavac dont le nom ressemble à Multivac, super-ordinateur vu dans de nombreuses nouvelles de Isaac Asimov.

 

Case 5 : Le terme de « vampire » semble tabou à néopolis. En même temps, une fois lu Top Ten forty-niners, on comprend pourquoi. On aime pas trop les vampires dans cette ville et tout action avec eux semble devoir rester très discrète.

Sinon, ils sont hongrois, d’où vient Bela Lugosi, acteur hongro-américain qui joua Dracula.

 

 

Page 2 : Le titre « Deadfellas » est un jeu de mots avec « Goodfellas » communément utilisé pour désigner les mafiosi et popularisé par le film éponyme de Martin Scorsese.

Case 1 : Goebbels porte un costume à l’allure hypnotisante qui pourrait aussi référer aux films expressionnistes allemands des années 1920.

Le vampire en rouge, Alexandru Irinescu ressemble par la couleur de ce vêtement et ls mèches de cheveux à Vinnie Stoker du dessin animé Gravedale High.

Les vampires ne sont pas pâles et tirent plutôt sur le violet dans Top Ten.

 

Case 2 : « Roy Rogers » (traduit John Wayne en VF) réfère encore au Dust Devil.

« Cosa Nosferatu » est un jeu avec la « Cosa Nostra », phrase classique des mafiosi.

D’ailleurs, Naples, ville connue pour sa mafia, s’appelait Néopolis.

 

 

Page 3 :

Case 1 : Little Greg serait inspiré de la marionnette Count Von Count du show Sesame street.

Bela Woytek : Son prénom vient de Bela Lugosi. Il possède plus la tête du vampire monstrueux, avec un nez de chauve-souris tandis qu’Alexandru représente le vampire mystérieux, séduisant et séducteur.

 

Case 2 : Alexandru porte une montre chauve-souris. Il n’y a qu’un pas avec Batman à franchir.

« Morgia » fait penser aux « Borgia », grande famille italienne du crime. « Morgia » fait aussi penser à un mélange de « Morgue » et « Mafia ».

Les « déchets médicaux » sont par exemple le sang.

 

Case 3 : Bien sûr, un vampire ne se reflète pas dans un miroir.

En VO, on peut lire « widow’s peak Vlad » qui renverrait directement à l’expression qualifiant la première génération d’italiens mafiosi aux USA de « moustache Petes » car les premiers gangsters italiens portaient de grosses moustaches.

 

Case 6 : « Uncle crêpeys cake parlor » réfère à Uncle Creepy publié dans Creepy.

Les vampires se rencontrent dans un restaurant spécialisé dans le Breakfats, petit-déjeuner, ce qui est assez ironique puisque c’est le moment où le soleil se lève.

Un parapluie suffit à se protéger des rayons du soleil.

« Direct market » réfère aux « direct-sales » (vente directe) comics books.

Le South Green est le quartier rempli de personnages monstrueux de toute sorte, vampires inclus. « South Green » pourrait venir de deux quartiers malfamés, South Central à Los Angeles et Cabrini Green à Chicago.

« Huge + blue, please help » devant Smax posté en mendiant.

Peregrine au fond fait son marché.

Dust Devil balaie la poussière (jeu de mots).

 

 

Page 26 :

Case 1 : « Filler Brush man » sur le vêtement de Dust Devil. Ça réfère à un « Fuller brush man » qui était un vendeur en porte-à-porte.

« The powterpuff girl » sur le tee-shirt de Peregrine réfère au dessin animé des Powerpuff girls. Ça réfère aussi à Susan Powter (dont Peregrine ressemble beaucoup d’ailleurs pour la tête, pas les muscles) qui est un peu notre Sonia Dubois nationale.

La carotte enflammée qu’elle tient réfère au comic book Flaming Carrot Comics.

Dans le bac, on a Milk et Cheese qui apparaissent seulement dans les direct-sales comics (donc dans un Direct market ici).

Les haricots doivent référer à Beanworld, comic indépendant.

A l’envers, sur la droite, c’est écrit « Special : Psychedelic Tubers, 39 cents/pound » qui réfère aux tubercules (« tubers » ) que mangeaient Swamp Thing sous l’ère d’Alan Moore et qui avaient des effets divers.

Au fond, le roi Paon espionne les vampires.

 

Case 2 : L’affiche dit « Today’s special Bloody Marys ». Il ne manque pas d’humour ces vampires.

La serveuse a une tenue rouge sexy dans le pur style de Vampirella.

« Buffy » et « Gellar » réfèrent à la série Buffy contre les vampires avec pour rôle principale l’actrice Sarah Michelle Gellar.

Sur la toute droite, on a Cassidy, le vampire de The preacher.

 

Case 3 : Eddie Popsicle (tranchoir en VF) ressemble à Gary Oldman dans Bram Stoker’s Dracula avec la même coupe de cheveux. S’il est dans un frigo, c’est peut-être pour mieux conserver son corps qui semble très vieux, donc facilement pourrissable.

Lazlo Janek ressemble à Grad Orlok qui interprète la vampire dans Nosferatu.

Krissi Donut (mal traduit par beignet en VF) porte ce surnom car on apprend qu’il a un trou dans le corps (comme les donuts qui sont troués, pas les beignets).

Les « hors d’œuvre » sont les humains bien sûr.

 

 

Page 5 :

Case 1 : Little Greg se fait appeler le Comte (Count) accréditant le lien avec la marionette.

 

Case 2 : en arrière-plan sur la gauche, on a Count Chocula.

Les vampires sont censés posséder un pouvoir hypnotique. Avoir recours à Goebbels signifie donc qu’il possède un pouvoir plus fort que les leurs.

 

Case 3 : Les six clans référent au jeu de rôle Vampire : The Masquerade où des clans de vampire faisant du crime organisé. On peut aussi voir un parallèle entre les six clans et les « Five families » qui contrôlaient le crime organisé à New York.

 

Case 4 : « Yorga » réfère au personnage du Comte Yorga dans les films éponyme.

Bela Lugosi, Christopher Lee et Gary Oldman, qui a joué le mieux Dracula ?

 

Case 5 : Les propos de Eddie sont ironiques vu sa coupe de cheveux.

En VO, Goebbels est traité de Svengali, terme anglais devenu courant chez eux et venant du personnage éponyme hypnotiseur et manipulateur du roman Trilby de Guy de Maurier. Cela signifierait peut-être aussi que les vampires de Top Ten ne possèdent pas de pouvoir hypnotique.

 

Case 6 : En VO, Alensandru dit « unholy », contrairement au terme traditionnel « Holy ».

 

 

Page 6 :

Case 1 : Le feu, pour un vampire, ici, c’est embêtant sans être mortel.

Sur la gauche, c’est Blade, chasseur de vampires chez Marvel.

 

Case 2 : En VO, on a l’insulte « Renfield » qui réfère à R.M. Renfield, serviteur dans le roman Bram Stoker et semble donc injurieux.

 

 

Page 7 :

Case 1 : Des chauve-souris en vol ! Sûrement d’autres personnes du bar qui se sont transformés face à tout ce remue-ménage.

En arrière-plan, il reste trois vampires dont peut-être, à droite, Méphi

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8 mai 2012 2 08 /05 /mai /2012 13:40

Deuxième tournée des références dans la série Top Ten.

Ci-dessous sont référencés les épisodes américains 5 à 8.

 

Top Ten 5

 

 

Page 1 :

Case 1 : Les magnets sur le frigo sont les logos de Green Lantern, Les X-men et Wonder Woman. Le Y et le Z sont trop abstraits pour savoir s’il réfère à des personnages ou si c’est pour s’amuser à faire la fin de l’alphabet : X Y Z.

 

Case 2 : Le téléphone est en forme de robot, celui de l’armure d’argent d’Iron man.

 

Le poster représente une souris en Captain Marvel .

 

Case 3 : Symbole de Thor pour les plaques électriques ?

 

Case 4 : La lampe ressemble à Dormammu, ennemi du Dr Strange.

 

Case 5 : En haut du tableau de liège, on a le symbole de Spawn.

 

 

Page 2 :

Case 1 : Les quatre panneaux font référence aux traditionnelles entrées souterraines d’héros à leurs caches.

 

 

Page 5 :

Case 1 : Les personnages de la fresque sont vicibles dans Top Ten Forty-niners.

 

On retrouve les raveurs identifiés dans l’épisode précédent, Saturne Girl et Sufferin' Till Suffrage de Schoolhouse Rocks.

 

 

Page 8 :

Case 1 : Le bar « Godz » qui accueille les « Gods » de toute religion, ici des Mayas rentrent tandis qu’un Dieu d’allure bouddhiste en sort.

 

Page 9 :

Case 2 : Aladin  sur son tapis volant.

 

Case 4 : Une pub pour des pantalons « Gamma » super-extensibles, référence à Hulk qui dit souvent "You wouldn't like me when I'm angry". Ici, la phrase se finit par “When I’m naked ».

 

Un silver Surfer super-vool passe dans le ciel.

 

Case 6 : L’héliporteur du SHIELD prend la route.

 

 

Page 16 :

Case 3 : La prostitué robot Steel Gerda tient son nom des poutrelles qui la composent, « Girger » en anglais.

 

 

Page 21 :

Case 3 : Krakatoa comme le volcan qui fut une éruption destructrice en 1883.

 

 

Page 22 : Le tableau est une parodie d’une œuvre de Roy Lichtenstein, avec ajout de masques de super-héros.

 

On retrouve la serveuse vue à la fin du premier épisode de Top Ten.

 

Case 4 : Une ratmobile encadrée, comme les premières versions de la Batmobile qui avaient une chauve-souris sur le capot.

 

 

Page 24 :

Case 2 : Des super-héros version super-souris : Captain America, Martian Manhunter, Captain Marvel (Shazam) et trois autresdont peut-être Nick fury ?

 

 

 

 

Top Ten 6

 

 

Page 1 :

Case 1 : Le char des Fous du volant.

 

Case 3 : Les personnages sur la gauche sont les héros de Top Ten Forty-niners.

 

Case 5 : Le Yellow Submarine des Beatles et devant, peut-être la batmobile de la série TV des années 1960.

 

Case 6 : Un singe de la Planète des singes.

 

 

Page 2 :

Case 2 : les deux personnages qui jouent aux échecs réfèrent peut-être au film The Seventh Seal.

 

 

Page 3 :

La rose sur le bureau de Stochastic fats se fane en 4 cases. Willie porte sur le torse la onzième carte du Tarot, la roue de la fortune (onzième mais numéro X car la première carte est le zéro).  Les lettres T-A-R-O sont notées sur le cercle (ou ROTA pour roue en latin) et elles sont imbriquées avec des lettres hébraïques du Tetragrammaton et donnerait Yod-Heh-Vav-Heh = YHVH = Yehovah.

 

 

Page 4 :

Case 2 : Smax mange souvent à Wac Do’, le McDo de TopTen.

 

 

Page 5 : Vous saurez ce qui chante dans la min-série Smax !

 

 

Page 8 : 

Case 4 : "Tune Titans magazine » est une référence aux Teen Titans, dit l’homme au costume en pellicules de films. Le reporter en violet porte une plume de stylo sur le front.

 

Case 5 : Le personnage à tête d’ours sur la gauche est Rupert, du comic book britannique éponyme.

 

 

Page 9 :

Case 6 : Dans la sphère de droite est emprisonné un personnage ressemblant plus à N-Forcer de Honor Guard qu’à Ultron, ennemi des Avengers.

Dans l’autre bulle pourrait être Gueule d’Argile du Silver age.

 

 

Page 11

Case 4 : Le robot a une tête en ordi d’Apple.

“Brotherhood of Evil Gastroenterologists” est tagué sur le mur et réfère aux vilains de DC.

 

Case 5 : Saint Koresh peut référer à Cyrus Teed, un original qui prit le nom de Koresh et pensait que l’homme vivait dans une Terre creuse.

 

 

Page 12 :

Case 1 : l’affiche «  Mindless Ones Appliances » réfère aux « Mindless »aliens qui tourmentèrent le Dr strange. Cela réfère aussi à l’univers de Topten. Les « appareils sans esprits » permettent de distinguer les outils ménagers des robots dotés d’un « Esprit-Mind » qui peuplent la ville.

 Un enfant a son slip par-dessus son costume, comme Superman et bien d’autres. Il porterait un « U » comme « Underpants ». L’enfant avec un design de circuit imprimé sur la tête pourrait symboliser brainiac. Le petit samouraï fait penser au Silver Samuraï de Marvel.

Case 2 : Le garçon sur la gauche est une Charlie Brown portant le costume du Dr Doom (ou Fatalis en VF). Le chien pourrait donc être Snoopy.

 

 

Page 13 :

Case 2 : Le garçon avec une cagoule violette est Dumb Donald du Fat Albert’s gang.

A côté de lui, il y a le raton-laveur de Rocket Raccoon.

Sur la droite, Squirrel Girl, personnage de Marvel de Steve Dikto, tombé dans l’oubli, à raison peut-être.

 

 

Page 15 :

Case 4 : Un héros Africain avec la carte du continent éponyme dans le dos et un F pour « ‘frica » sûrement.

 

 

Page 16 :

Case 1 : Une parodie du logo du Punisher sur le torse du Verminator. Sa tête fait aussi un peu penser à Crossbones.

Parmi les super-chats, on voit des visions félines de Aquaman, Flash, Wonder Woman, Green lantern (?), Dr Strange et il en reste deux non-identifiés.

D’autre part, ils se nomment les « Atom Cats » ; ce qui pourrait référer à Atom the Cat, comic des années 50 publié par Charlton.

 

Case 2 : Les écriteaux du camion réfèrent à Spider-Man et Batman.

 

Case 3 : Le Verminator dit que les souris on t trois doigts, référence aux dessins comme Disney qui représentent les animaux avec moins de doigts qu’ils n’en possèdent réellement.

 

 

Page 17 :

Case 1 : On y voit une souris Martian Manhunter, une en Captain America,

 

 

Page 18 :

Case 1 : Dans la rue, autour du Père Noël, on pourrait avoir Binky, le Everyrabbit de Matt Groening, un super saiyan.

 

Ls noms des magasins réfèrent de gauche à droite à trois personnages de DC : B’wana Beast, Virman Vundabar et Brother Power the Geek.

 

Le graffiti sur la droite donne les noms italiens de la JLA et des Vengeurs.

 

Case 5 : Symbole de Spider-Man à droite.

 

 

Page 19 :

Case 5 : « D’oh ! » d’Homer Simpsons sur le corps de Girl one.

 

 

Page 21 :

Case 1 :  L’enfant au chapeau haut de forme est The Shade, de DC.

 

 

Page 22 :

Case 1 : Red Monika et Fairchild font le tapin (Batlle Chasers et Gen13).

Un leprechaun porte logiquement le costume du x-man irlandais Banshee.

Au premier plan, Legion, membre de Special executive et frère de Thug, membre des Technets. IL est vu dans Excalibur, chez Marvel. Legion peut s’aider de copies de lui-même venues d’autres époques. C’est pour ça qu’on le voit à trois stades différents d’une vie sur l’image.

Les deux personnages au fond à droite sont deux personnages de Moore homonymes, Cobweb ! L’une vient de la série Tomorrow stories, l’autre de Captain Britain.

e-lectron : Chaaarge it!! Est un jeu de mots sur la charge d’un électron.

Autre jeu de mots sur le banc : Ectosplasm au lieu de « plasma ».

 

 

Page 23 :

Case 1 : Une version féminine de Sunfire ?

 

Case 2 : Woden est un autre nom pour Odin.

 

Case 3 : Un Charlie Brown en fantôme issu d’un spécial Halloween « Great Pumpkin » ?

 

 

Page 24 : Les deux dieux non-nordiques en haut à droite sont Garuda, homme-oiseau de l’hindouisme et Hadai, dieu-soleil canadien d’un peuple indien de la côte Ouest.

 

 

 

 

 

Top Ten 7

 

 

Page 2 :

Case 1 : Le personnage en haut pourrait être Brother Power the Geek.

 

 

Page 4 : Sur la tableau en haut à droite, on a possiblement :

« Nyarlathotep's Crawling Chaos», soit « Le Chaos rampant de Nyarlathotep », référence au Dieu cosmique Nyarlathotep de H.P. Lovcraft.

« Jove's Harvey Cloudbanger », référence au Dieu romain Jupiter (dont le nom vient de Jove) et ses éclairs (venant des nuages, « cloud ») et référence à « Harvey Wallbanger », cocktail à base de vodka, Galliano et jus d’orange.

« ?'s Tequila Sunrise », la bulle de Smax cache la parodie placée avec ce cocktail qu’est une Tequila Sunrise.

 

 

Page 5 :

Case 1 : Le nain bleu est le dieu égyptien Bès.

 

Case 3 et 4 : Thunor n’est autre que Thor, voyez son marteau dans la dernière page de l’épisode précédent.

 

 

Page 6 :

Case 1 : La seconde photo pourrait être Jimmy Olsen sur Terre 10 où il est transformé en Elasti-Turtle Boy.

 

 

Page 7 :

Case 6 : Des schtroumpfs volent un Dieu chinois, peut-être Ts’ai Shen, dieu de la fortune.

« Kvasir Blue Sanguine Mead » réfère à la légende de Kvasir, Dieu Nordique dont le sang mélangé au miel à créer le pré (=Mead) de la poésie.

Un dieu mésopotamien quitte le bar, peut-être le dieu Marduk.

 

 

Page8 :

Case 1 : Le corbeau appartient à Odin, qui en possède deux, Huginn et Munnin.

 

Case 3 : Zeus est le père des dieux grecs. Ammon est un dieu identifié comme étant le pendant égyptien de Zeus. Son sceptre allume-cigares fait penser à un vajra (qui signifie « foudre »), instrument rituel dans l’hindouisme.

 

 

Page 9 :

Case 1 : Le dieu avec son masque rectangulaire pourrait être Navajo.

Les deux dieux qui volent en haut à gauche restent un mystère

 

Case 2 : Le dieu bleu est Vishnu. A sa gauche pourrait être Bouddha. Les deux autres sont un mystère.

 

Case 3 : Ganesha traîne au fond du zinc.

 

 

Page 10 :

Case 1 : Quand un Dieu crache du sang, on y trouve des serpents, des humanoïdes et des oiseaux.

 

 

Page 11 :

Case 3 : Poséidon sur la gauche avec son trident. Horus est au milieu de l’image avec peut-être Amon-Ré.

 

 

Page 12 :

Case 1 : Sur la gauche un dieu mystérieux qui pourrait être le dieu pré-islamique de la lumière Ahura-Mazda ou une autre de ses formes. Sur la droite, Krish pour Krishna. A noter que la police de caractères de Krishna est en accord avec l’écriture hindoue. Le dieu chinois serait Shou Xing et il tient dans sa main la pêche de l’immortalité.

 

Case 2 : « I suck : Call Charybdis », on parle de Charybde, monstre marin de la mythologie grecque qui aspire littéralement les bateaux, d’où le jeu de mots avec « Suck »

« Don’t Calliope on your shoes », jeu de mots avec « dont’ pi » = ne pas uriner.

« Oedipus is a mother fucker », c’est le cas.

« Hephaestus is totally lame », lame veut dire boiteux, donc c’est là aussi vrai.

 

 

Page 13 :

Case 4 : Lokk n’est autre que Loki.

 

 

Page 14 : Loki est bien le fils de géants (Farbauti et Laufrey) et le père du loup Fenris, Serpent de Midgard Jormungand et de Hel, déesse de la mort. Quant au Ragnarok, c’est la bataille finale de la mythologie scandinave où tous les dieux et leurs ennemis meurent.

 

 

Page 15 :

Case 1 : Iron fist passe derrière Traynor.

 

 

Page 16 :

Case 1 : Pastiche de la JLA : Sun Woman, Atoman et Le chien sont le pendant de Wonder Woman, Superman et Batman. M’rrgla Qualtz, Vigilante de Venus apparaît alors comme le pendant du Martian Manhunter J’onn J’ozz.

 

 

Page 17 :

Case 2 : L’armada krell fait penser à la race des Krel dans le film Forbidden Planet mais aussi aux Kree dans Marvel.

 

Case 3 : « Helios , bien qu’elle est une allure aztèque, elle jure par un dieu grec.

 

 

Page 20 :

Case 1 : Hobgoblin en haut avec un masque de Jack O’Lantern sur un balai mécanique volant. Ce mix réfère peut-être au fait que le premier Jack O’Lantern est devenu le deuxième Hobgoblin.

 

En bas à gauche, une parodie en mime de Flèche noire, chef des Inhumains chez Marvel qui ne doit pas parler car sa voix est destructrice.

 

« Really dead, please help » est écrit dessou Bucky, qui au moment de Top Ten était un des rares personnages Marvel a ne pas être revenu d’entre les morts.

 

 

Page 21 :

Case 5 : Le samouraï cuisinier serait une référence au comédien John Belushi du Saturday Night Live Character.

 

 

Page 23 :

Case 4 : Le T-shirt de Kemlo serait Dirty Dog qui joue dans le Puppet Band dans Pee Wee.

 

 

Page 24 :

Case 6 : L’oie fantôme se dévoile et on constate que le motif à damier fait partie du personnage. Il y a avait des nappes à damier au Krakatoa’s et la première victime sortait d’un taxi au même motif.

 

 

 

 

Top Ten 8

 

 

Page 1 :

Case 1 : Portrait de Ronald Reagan masqué.

 

Le mari de Peregrine porte une montre qui a la forme du logo de Superman mais elle pourrait plutôt correspondre au bracelet des héros de Battle of the Planets.

 

Case 2 : Imperfect duplicates avec « Ugliness am Beauty » réfèrent aux Bizarros dans Superman, duplicata imparfaits des héros de DC.

 

Case 3 : Un pommeau de douche en forme de dauphin membré. Peut-être un lien avec Namor qui aurait attaqué New-York avec des cétacés mutants.

 

Le rayon théta réfère au rayon zeta qui joue un rôle dans les aventures d’Adam Strange chez DC.

 

Case 4 : Les demoiselles d’Avignon de Picasso revues à la sauce Fantastic Four (avec Namor dessu en prime, voir case 2).

 

Case 6 : « Paradis Pads you can : Untouched by the hand of man » réfère au Paradise Island de Wonder Woman où il est interdit aux hommes d’y fouler un pied.

 

 

Page 2 : Héliporteur du SHIELD au niveau du logo Top Ten.

 

 

Page 3 :

Case 1 : L’immeuble volant sur la gauche est le Baxter Building des Fantastic Four.

 

Dans la file de véhicules volants en tout genre, on peut voir, en allant de gauche à droite, une des voitures volantes du SHIELD, un chevalier sur une autruche extrait fu jeu vidéo Joust, des singes volants du Magicien d’Oz, un avion plat de la Seconde Guerre Mondiale, deux vaisseaux, dont le cargo Corellian Tantiva IV, tirés de la scène d’ouverture de Star Wars, un chariot tiré par deux boucs (Chariot de Thor ?), l’hélicoptère en forme de croissant de Moon Knight, le Yellow Submarine des Beatles et un dragon ressemblant à Fin Fang Foom de Marvel.

 

Case 2 : Le vaisseau aux gros yeux et pattes d’insectes ressemble au véhicule du Hibou des Watchmen et à celui de Blue Beetle, de DC.

 

 

Les hommes élastiques sont des badauds qui peuvent mieux voir les accidents que vous. Ils sont Elongated Man, Plastic Man, Jimmy Olsen dans sa période élastique, le jouet Stretch Armstrong et Mr Fantastic.

 

Case 4 : La locomotive volante est Thomas the Tank Engine de Thomas & friends.

 

 

Page 6 :

Case 4 : Les deux garçons sont les Cyclone Kids, de Scribbly, chez DC. On les a déjà vu page18, case 1 de l’épisode 3.

 

 

Page 7 :

Case 3 :  On continue l’analogie des Sept Sentinelles avec la JLA avec le Boomerang noir qui fait penser à Green arrow.

 

 

Page 8 :

Case 4 : Le traité d’Altair réfère au film Forbidden Planet et sa planète Altair IV.

Hasard ou pas mais 423 av. J.C. correspond à la destruction du Premier Temple et l’exile babylonien.

 

 

Page 10 :

Case 1 : Spaceman Spiff, l’alter-ego de Calvin dans Calvin et Hobbes.

 

Case 2 :L’alien est justement extrait de l’imaginaire de Calvin quand il se prend pour Spacema Spiff.

 

 

Page 12 :

Case 1 : Le personnage Rom de Marvel et Astro boy de Mr Tezuka !

 

 

Page 14 :

Case 1 : En haut à droite, Hawkman du Silver Age. En-dessous, Angel des X-Men et Man-Bat, ennemi de Batman. On remonte la file et on a l’ailée Dawnstar de la Légion des Super-Héros, le Vautour, ennemi chauve de Spider-Man, une sentinelle connue pour affronter les X-Men, le vaisseau de Mr Mind, vilain de l’univers Fawcett, le Faucon de Marvel, le Black Racer de DC, deux personnages du comics Fourth World de Kirby qui seraient un psychopompe et un avant-coureur de la mort (mais je ne vois pas vraiment de quoi il s’agit), la Thunder frog voir Thor #364), la Cadillac de She-Hulk et un tapis volant.

 

 

Page 15 :

Case 5 :Dans le ciel, on  a Mon-El, Saturn Girl, Timber Wolf et Superboy, memebres de la Légion des Super-Héros, qui poursuivent Lightning Lord.

 

 

Page 16 :

Case 3 : « SPQR » signifie « Senatus Populus Que Romanus », soit « Le Sénat et le Peuple Romain ».

 

 

Page 17 :

Case 1 : Sur la gauche, tout en haut, la femme-tornade pourrait référer à des personnages masculins bien connus tels que Whirlwind ou Red Tornado.

 

Sur la droite, on trouve le duo Northstar et Aurora d’Alpha Flight, Le Martian Manhunter (version féminine on dirait), l’enfant Bastien Balthazar Bux sur le dragon-chien Falkor de L’histoire sans fin et un pégase.

 

Le vendeur de smudburgers est Mr Beeba, apparaissant dans Akiko.

 

« Businessman : You’ll believe a man can’t fly » est une référence au premier film de Superman qui nous convainquait qu’un homme pouvait voler.

 

La femme aux pattes géantes robotisées fait penser à un des jouets maltraités de Toy story.

 

Case 2 : Les personnages en fauteuil roulant sont Barbara Gordon de Batman, Dalek de Dr. Who, le chef de la Doom Patrol et le Porfesseur Xavier des X-Men.

 

 

Page 18 :

Case 1 : L’éclair jaune en arrière-plan réfère au personnage Air Wave de DC.

 

Case 4 : On y voit la cité de Kandor de Superman et le crystal M’Kraan de l’univers Marvel.

 

 

Page 20 :

Case 1 : Comme vous allez le voir, Grand Central contient, de par son statut, de nombreux personnages issus d’univers alternatifs ou capables de passer d’un monde à l’autre.

 

En haut à gauche : Les quatre membres du Syndicat du Crime Superwoman, Power Ring, Alexi Luthor et Ultraman. Les quatre lettres sur les costumes donnent « SOD U », ce qui peut se traduire par « Sodomise you », donc « va te faire enculer ». Est-ce fait consciemment ou pas ?

 

En haut au milieu : « Vacation on infinite earths ! » parodie la mini-série Crisis on infinite earths, événement important de l’univers DC. Dessus apparaît des personnages phares de cette histoire : Pariah, un Superman mal-colorisé, Firestorm, Dawnstar, the Blue Beetle, Cyborg et sûrement Jericho.

En-dessous, il y a, à la réception, quatre robots du film Metropolis de 1927.

 

En haut à droite : Il peut aussi bien s’agir de Donald Duck qu’Howard le canard. Dans les deux cas, sa façon d’arriver sur la page correspond aux deux puisqu’il peut sembler chuter alors que toutes les autres personnes arrivent de façon ordonnées.

 

Dans la partie basse, de gauche à droite : Hiroshiman et U.S.S.R. du comics 1963 (épisode 6) d’Alan Moore.

Deux personnages alternatifs de Captain Britain qui sont Captain England et Captain Albion.

Au-dessus d’eux, deux publicités, la première est une allusion au magazine MAD. La seconde au film Terminator 2.

Rogue, Sabretooth et Wildchild sortis de Age of Apocalypse, chez Marvel.

Au-dessus d’eux, avec le casque aux grandes cornes, Loki.

A côté de Rogue, Le maître des miroirs, ennemi de Flash.

A droite de lui se trouve Uhura, Kirk et Spock (issu de l’épisode Mirror, Mirror où il vient d’un monde alternatif) de Star Trek.

Derrière eux, à droite de la réception, ce pourrait être le Comte Godefroy de Montmirail et Jacquouille la fripouille du film Les visiteurs mais la ressemblance n’y est pas.

Derrière eux, sur la droite, serait Amazo, vilain de DC.

Devant, à droite, Nightmare (Cauchemar) de Marvel et Morpheus de DC qui sont tous les deux les seigneurs des rêves.

La jeune fille qui court est Lola du film Run, Lola, Run.

 

 

Page 21 :

Case 1 : De gauche à droite, le robot, Will Robinson et DR. Zachary Smith de la série TV Lost in Space.

Sam Becket et Al Calavicci de la série TV Code Quantum.

Deux aztèques du comics Tom Strong de Moore.

Des personnages de la série TV Stargate SG-1. Le personnage Teelk dit « What ? » car il ressemble beaucoup à John Corbeau et ça interroge ses camarades.

Le papy au-dessus d’eux sort d’un court-métrage de Pixar.

Les derniers personnages à droite sont Phineas Bogg et Jeffrey Jones de la série TV Voyagers.

 

Case 2 : La femme au manteau pourrait référer à Captain Britain de Moore où Captain UK se déguisait similairement pour se dissimuler de The Fury.

Le personnage vert au crâne géant avec un « S » sur sa boucle de ceinture pourrait un habitant de Supremacy, dans la série Supreme de Moore. Ses habits de baseballeur doivent être une référence à une histoire où ils jouent au baseball.

Celui qui récupère son ticket est un mélange de Utra the multi-alien et d’un skrull.

L’homme qui semble nu ressemble à Sir William Whitley Gull de From Hell.

Le personnage de droite avec son journal serait The Fury.

 

Case 5 : La femme est Glory de la série Glory de Moore.

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3 avril 2012 2 03 /04 /avril /2012 15:11

Avec les références des épisodes 2, 3 et 4.

 

 

Top Ten 2

 

 

Page 1 :

Case 2 : Dans les magazines au sol, nous trouvons Nixon's Plumbers qui est un jeu de mots sur le Watergate de Nixon et The Gov avec en couverture un homme semblant être le Gouverneur Jesse Ventura.

 

Page 2 :

Case 2 : Un assainisseur d’air mini-Superman accroché dans la voiture.

 

Case 3 : les trois constructeurs sont Swamp-thing, ressemblant beaucoup à Alan Moore, la Chose des Quatre Fantastiques et un dernier personnage qui a peut-être le mot « Thing » dans son pseudonyme et qui pourrait ressembler à Zander Cannon.

 

Goldorak au fond.

 

 

Page 7

Case 1 : Un tag « V for ventura » réfère à V for Vendetta.

 

Le tag F5 est celui des Cinq Fabuleux.

 

L’enseigne Martian Machi.. pourrait être Martian Manhunter.

 

En haut à gauche, il y a un tag « Diana » qui pourrait aller à Wonder Woman.

 

Case 2 : Sur la porte, il y a un tag JLA et un tag X pour X-Men.

 

Starman est assis près du bidon enflammé.

 

 

Page 8 :

Case 2 : « Power Kosmik » réfère au pouvoir du Silver Surfer.

 

Sur le haut du mur, on voit écrit « M Mallah gives good head » réfère au singe Mr Mallah, assistant de The Brain, chez DC. Il y a aussi une allusion sexuelle.

 

Sur la droite, on retrouve la pub pour le « Red K » entouré d’un soleil rayonnant rouge stylisé à la japonaise.

 

Un tag « Ultraman » au-dessus du loup-garou.

 

Les Cinq Fabuleux réfèrent aux genres des films de monstres des années 50 : un loup-garou, un lézard, un alien, un robot et un monstre de pierre.

 

 

Page 12

Case 2 : « See invisible girls on the big stage” : Petite blague sur l’idée de voir des filles nues invisibles.

 

 

Page 13

Case 1 : Modok et Modam sur la droite de l’image.

 

« The Replacement God » réfère au comic de Zander Cannon éponyme.

 

L’accident de voiture a lieu entre Mr. Incredible de l’épisode 1 et le personnage vu en p.2 de l’épisode 1 aussi.

 

 

Page 14

Case 1 : La pieuvre avec son stéthoscope est une façon d’illustrer le célèbre Dr. Octopus, ennemi de Spiderman.

 

Sur la gauche, on voit un « i » majuscule fait comme le logo de Image.

 

 

Page 15 :

Case 1 : Les chaises existent réellement et viennent du designer Frank Lloyd

 

Case 4 : « I love my country but i fear my governement ». On ne peut lire que la deuxième partie de la phrase sur Irma. Ces mots sont souvent cités par les pro-armes aux U.S.A..

 

 

Page 18 :

Case 3 : La victime de la guerre amputée a un double sens. On y voit aussi bien les victimes de la guerre du Vietnam et l’implosion du comic book au début des années 90 où plusieurs éditeurs ont mis la clé sous la porte.

 

 

Page 20 :

Case 3 : Le personnage costumé avec le drapeau sera revu dans Top Ten 49ers.

 

Case 4 : La boucle de Bob « Blindshot » est une roue à 8 rayons représentant les voies bouddhistes vers la sagesse.

 

 

Page 22 :

Case 1 : Who watches the Simpsons ? ou qui lit les Watchmen et regarde les Simpson ?

 

Sur le musée, les quatre époques écrites sont Pre-Columbian, Exploration, Industrial et Super-Heroic.

 

 

 

 

 

 

 

Top Ten 3

 

 

Page 3 :

Case 3 : La femme sur la droite peut être membre des New Gods de DC.

 

Case 4 : La personne à gauche porte une version verte de Shade the changing man de DC.

 

 

Page 8 :

Case 1 : « Power rings ‘n’ things » : Référence directe au pouvoir de l’anneau de Green Lantern.

 

Star Sapphire, ennemie du Green Lantern, se trouve près de la porte d’entrée.

 

Le graffiti Foxbat réfère au personnage éponyme.

 

En-dessous, la petite fille pourrait être Princess Projectra et le robot, une caméra droïde de La Menace fantôme.

 

« Junior League of America Pres… » donne en acronyme la JLA de DC.

 

La voiture “New Fjord Vigilante” doit correspondre aux Vigilantes.

 

 

Page 9 :

Tanya et Alex portent les vrais costumes cosmonautes du début de la conquête spatiale. Voir Tanya nous rappelle que des singes ont été envoyés dans l’espace avant l’homme.

 

 

Page 10 :

Case 3 : La présence d’un être dalmatien parmi les Faboulous Five pose une question. Est-ce l’extra-terrestre vu dans l’épisode 2 ? Dans ce cas, y a t-il une erreur de colorisation ? Si c’est bien un sixième membre, alors, cela prouve les dires de Smax comme quoi « ils ne savent probablement pas compter ».

 

 

Page 11 :

Case 1 : « Fortress of Pizza » comme la forteresse de la Solitude de Superman.

 

L’homme avec son « e » symbole d’internet explorer vend à la sauvette des « Rollex signal watches » comme la montre-signal de Jimmy Olsen, dans Superman.

 

L’affiche des Sidekix les fait penser aux Teen titans du Silver Age avec Wonder Girl (ici, c’est un garçon), Robin, Aqualad et Speedy.

C’est aussi une référence aux Boy’s band. Leur chanson « Boy wondering » est une allusion à Robin.

 

« Same spam time, same spam channel » réfère à “Same bat time, same bat channel” écrità la fin de la série TV Batman dans les années 60.

 

« Multi-Medea » écrit dessous les Sidekix est une référence à la sorcière grecque Medea.

 

Case 2 : La figure sur la gauche est une pub pour avoir la même coupe que Wolverine en utilisant « Mut-8 conditioner ».

 

 

Page 12 :

Case 4 : On peut lire la fin de « Bastard » sur le corps de Girl One. Cela nous montre ses émotions.

 

Page 13 :

Case 3 : Le Red K est vraiment une boisson populaire.

 

Page 14 :

Case 1 : Parmi les pièces à conviction, on trouve Mjolnir, le marteau de Thor ; peut-être le casque de Mazing Man de DC ma colorisé ; la lanterne du Green Lantern ; peut-être la tête de Mr Freeze ; un carquois avec ses flèches, celui de Green arrow ou de Hawkeye ;un Batarang de Batman et un bidule argenté ailé comme sur le costume du Flash du Golden Age.

 

Case 2 : Ernesto parle de son « uncle Gogira », soit Godzilla.

 

Rorschach et Night Owl des Watchmen sont emprisonnés. Au-dessus d’eux, c’est peut-^tre leur confrère Dr. Manhattan.

 

 

Page 15 :

Case 3 : le type avec la coupe mohican et l' oeil sur la poitrine (et qui tient un oeil géant) pourrait être un hommage à OMAC, the « One Man Amy Corps », une création de Jack Kirby.

 

 

Page 18 :

Case 1 : Les Cyclone Kids de DC sur la droite.

 

 

Page 22 :

Case 1 : La victime de l’oie fantôme est habillée comme les premiers avions, peut-être celui des frères Wright.

 


Page24 :

Case 1: Une affiche Granny Goodwrench, allusion à Granny Goodness d'Apokolips. Le panneau est aussi une référence à “D.R. and Quinch” d’Alan Moore publié chez 2000 A.D. .

 

 

 

 

 

 

Top Ten 4

 

 

Page 1 :

Case 2 : Le personnage en forme de lampe à cire ressemble à Chemo, ennemi du DC universe.

 

Case 3 : Un pied du Nightcrawler en haut de la case.

 

Le personnage à tête de robinet peut référer à l’éditeur « Kitchen Sink press ».

 

Case 5 : « Oh shit » écrit sur Girl One et la première visualisation du pouvoir de Monsoon.

 

 

Page 2 : Bien que la référence aux films de monstres soit évidente, la scène est aussi semblable à la fin du film White heat par les paroles de Gograh citant James Cagney... à mons que ce ne soit les mots de DiCaprio dans Titanic.

 

La statue  incrustée dans le mur de gauche pourrait venir du Space ghost.

 

 

Page 4 :

Case 1 : « I love my country » sur le casque de Irma.

 

Le corps de Girl One est recouvert de petites spirales typiques des mangas pour traduire que le personnage est déboussolé. Vu qu’elle est asiatique, ce design peut être intentionnel.

 

 

Page 9 :

Case 2 : Allusion au film Les dents de la mer.

 

 

Page 11 :

Case 2 : La boîte techno s’appelle « Chemicals and Lightning », ce qui correspond aux origines du Flash su Silver Age et du Kid Flash.

 

 

Page 13 :

Case 1 : Le buste en fond pourrait être celui d’Adam Strange.

 

 

Page 15 :

Case 3 : la BD Millie the Mover au sol réfère à Millie the Model de Marvel.

 

La poupée sur la gauche est Lenore, du comic éponyme.

 

Case 4 : « Businessman : Lo, there shall come an auditor !” fait penser à une parodie des Monthy Python, “Bicycle Repairman” tandis que la couverture fait pense à Stan lee et son habitude à faire à mettre des bulles dessus.

 

 

Page 16 :

Case 3 : Clint Eastwood en poster du film Pale Rider ou l’homme des hautes plaines.

Probable que ce poster soit plus à Saddles qu’à Boots vu son costume de cowboy.

 

 

Page 18 :

Case 1 : La disposition des personnages réfère à la saga « Fall of the mutants » chez Marvel et à la couverture éponyme réalisée par Alan Davis.

 

Le personnage avec Xtrem Play sur la poitrine est un clin d’œil au premier Mister Terrific (dont on peut voir la statue dans "JLA : Vice et Vertu") qui arborait fièrement sa devise: "Fair Play".

 

La fille sur la gauche avec son étoile est Sufferin’ Till Suffrage de Schoolhouse Rocks.

 

Le pingouin sur la gauche ressemble à une version géante du Pingouin, héros d’une série TV éponyme tchèque d’animation.

 

 

Page 19 :

Case 1 : Smax transporte Saturn Girl, de la Légion des Super-héros.

 

Page 20 :

Case 1 : Encore la pub de Wolverine mais dans sa période japonaise, au milieu des années 80.

 


Page 23 :

Case 3 : La femme sur la gauche en costume de tigre est la première Huntress chez DC.

 

Sur la devanture des sex shops, on peut lire « Quadruple Lass », allusion à Triplicate Girl de la Légion des Super-héros, et « Stretchable Sluts » (pour catins étirables, en gros) qui est un clin d' oeil à "stretchable sleuth" (limier étirable), le surnom d'Elongated-Man de DC.

 

Le personnage bouclé à droite est Little Orphan Annie avec son chien derrière elle.

 

Le moustachu qui achète de la drogue au chat avec l’imperméable « Ripoff Park Band » est un des Fabulous furry Freak Brothers.

 

Sur la gauche du panneau « Sex acts » pourrait être représenté Sister Bertrille, the flying nun.

 

En dessous du même panneau, on a un individu ressemblant à Savage Dragon.

 

Case 4 : Le tag « Mike the merciless » est une référence à Ming the Merciless, ennemi de Flash Gordon.

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28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 18:36

Seconde partie de Top Ten consacrée aux références disséminées dans la série.

Vous allez voir qu’elles sont extrêmement nombreuses et que la culture générale d’une personne n’est pas suffisante pour en dénicher la moitié.

 

Cette liste de références s’appuie sur un site anglophone http://ratmmjess.tripod.com/topten1.html où une multitude de gars a contribué. Elle s’appuie aussi sur les forumers de France-comics http://www.france-comics.com/ qui en 2004 avait aussi essayé de lister le plus grand nombre de références possibles.

 

 

Commençons alors cette nouvelle liste en espérant qu’elle soit la plus exhaustive à ce jour.

 

Top Ten 1

 

Page 1 :

Les publicités affichées en haut du métro ont toute un intérêt.

“Latest S.T.O.R.M. statistics in Neopolis Newsday.”

S.T.O.R.M. signifie Sexually Transmitted Organic Rapid Mutation, ce qu’on a traduit par la M.O.R.T. en français. C’est l’équivalent du S.I.D.A..

 

“Time for a change of outfit? Stop in at the Phone Booth!”

Il faut voir ici le cliché du super-héros qui se change dans une cabine téléphonique véhiculé par le premier film Superman.

 

“1 Million Cured!”

Probablement une référence à DC 1 Million.

 

“Logan’s DNA Dietary Supplement. With Extra Adamantium!”

Logan est le nom de Wolverine, célèbre membre des X-Men, dont le squelette est recouvert d’adamantium.

C’est sensé de penser que dans l’univers des Super-héros, on fera plutôt de la pub pour un supplément en super-métal qu’en fer.


“Hold it! Better call Action Insurance!”

C’est une référence à la couverture de Action #1 où Superman jette une voiture.

Dans une ville où tout le monde a un pouvoir, il faut mieux avoir une bonne assurance pour protéger son véhicule face à des désagréments de ce genre.

 

“Nikee–the Speedster’s Choice!”

Référence à la marque de chaussures Nike.
 

"Blast Brew”

Il y a peut-être une similarité  entre la femme de la pub et Big Barda (mêmes intiales).

 

“Injured? Call...Legion of Super-Lawyers”

Référence à la Légion des Super-Héros de DC Comics.

Case 3 : Adèle Blanc-Sec avec son manteau vert et son écharpe rouge pourrait être présente sur le quai.

 

Case 4 : Leveret signife levraut. A ne pas douter que lorsque son amie grandira, elle passera de Leveret à Hare, soit de levraut à hase en français.

 

Le vieux sorcier sur la droite pourrait être Aleister Crowley, écrivain et occultiste britannique.

Il a une croix à l’envers, symbole de Satan, sur son chapeau. La tête d’un bouc (autre signe de Satan) en pommeau de son bâton de sorcier.

De plus, Alan Moore a étudié Crowley, qu'il cite directement dans sa série Promethea et fait apparaître brièvement enfant dans From Hell.

 

 

Page 2 :

Case 2 : Elvis, de dos, sur la gauche de l’image.

 

Toujours sur la droite, un homme qui porte un costume ressemblant à un mix des costumes du Captain Marvel de DC et du Captain Marvel de Marvel.

 

Le chauffeur de Bronzeman, lui, est beaucoup plus difficile à identifier. Il pourrait être une référence à de nombreux personnages au nom associé au métal. Iron Man, Titanium Man, Superman surnommé « Man of Steel », à Doc Savage surnommé « Man of Bronze ».

Le chauffeur masqué fait aussi penser à Green Hornet et son sidekick, chauffeur.

Il pourrait aussi être une référence à un ennemi de Savage Dragon nommé Bronze man

 

On retrouvera l’homme sui parle au téléphone dans l’épisode 2, p.13 et l’épisode 9, p.14.

 

 

Page 3 :

Case 1 : La femme sur la gauche porte une croix de Malte, portée par l’Ordre de St Jean de Jérusalem.

 

A gauche de cette femme pourrait se cacher Albert Einstein.

 

Case 6 : Batmobile de l’époque Jim Aparo ou Neal Adams ?

 

 

Page 4 :

Case 1 : L’entrée du commissariat este la même que le hall of justice dans le dessin animé les Super-friends. Les projecteurs des deux petites statues sont ceux de la zone fantôme dans Superman. Il  pourrait y avoir une ressemblance entre le building du commissariat et le Ministère de l’Information dans le film Brazil de Terry Gillian.

 

La publicité en haut à gauche « Red Kola… His secret weakness » réfère à Coca-Cola et à Superman dont la seule faiblesse est la kryptonite. Red Kola = Red K = Red Kryptonite

 

Case 2 : La femme aquatique réfère, par sa demande, au cliché qu’un super-héros aquatique s’affaiblit alors de l’eau, jusqu’à en mourir. Les concernés les plus célèbres sont Aquaman chez DC et Namor chez Marvel.

 

 

Page 5 :

Case 1 : La machine à écrire est la tête du robot Robby, du film de 1956 « Planète interdite ».

 

Angus Aberdeen. Son nom et sa physionomie réfèrent à une race noire écossaise de bœufs.

 

Case 3 : Le nom de code du père de Robyn, Lilliput, réfère au livre Les voyages de Gulliver.

 

Case 4 : Kemlo César. Il porte souvent une chemise hawaïenne et c’est un Doberman. Cela réfère sûrement à la série Magnum P.I. où Tom Selleck est le roi de la chemise hawaïenne et où Higgins possède deux dobermans, Zeus et Apollon.

 

 

Page 7 :

Case 2 : Les Cinq Fabuleux réfèrent aux Quatre Fantastiques.

 

 

Page 8 :

Case 2 : Le Nazi volant réfère aux Zeppelin, développés à cette période de l’histoire. Le symbole Nazi est aussi une indication sur leur existence dans Néopolis, ville construite par des savants nazis, dixit l’épisode 2.

 

Wallace et Gromit dans leur side-car.

 

Le char derrière eux est peut-être celui de Ben Hur.

 

Absolut Kirby : Référence à Jack Kirby

 

Sur la droite de « Absolut Kirby » est représenté la statue du dieu grec Hermès avec son chapeau ailé.

 

Une batmobile et une K2000 ?

 

 

Page 9 :

Case 4 :  « Ray Palmer Plumbing » réfère au héros de DC Atom capable d’atteindre la taille d’un atome. Être microscopique, c’est utile pour déboucher les tuyaux.

 

Juste à côté de la voiture de police est Zatanna Zatarra de DC.

 

L’enfant avec l’éclair sur le dos son t-shirt et sa batte à la main est la version juvénile de Mage, créé par Matt Wagner.

 

Le chien pourrait être Krypto, le chien de Superman que l’on revoit p.11

 

Quant à la fille blonde, elle fait penser à Julie de la série The Maxx, avec un excès de colorisation bleue sur ses cuisses, certainement non désiré par Gene Ha.

 

 

Page 10 :

Case 4 : Casque de Galactus caché dans le tiroir.

 

Page 10-11 :

Le vieux couple correspond aux Richards des Quatre Fantastiques et ce vieux problème avec un alias de Namor qui, malgré l’âge, n’est toujours pas résolu.

 

 

Page 12 :

Case 1 et 3 : Le robot humanoïde sur la gauche fait penser à Woody Allen dans Sleeper.

 

 

Page 13 :

Case 2 : Le roi Paon est yezidi, ou yazidi, croyance kurde en un Dieu unique, Xwede.

Avant de créer le monde, Dieu a créé les 7 anges et désigné Malek Taous comme leur chef. Une fois le monde créé, Dieu a chargé Malek Taous de s'en occuper.

Malek Taous signifie « l’ange-paon ». Voivi le lien avec son costume et son nom de code.

 

 

Page 14 :

Case 3 : « Synaesthetic ». La synesthésie est un phénomène neurologique par lequel deux ou plusieurs sens sont associés.

 

Case 4 : « Stochastic » signifie aléatoire ou impliquant une variable aléatoire.

 

 

Page 15 :

Case 1 : “Zip Pizza : There in 30 Seconds.” Façon originale d’utiliser son pouvoir. Cela montre aussi que dans un monde où tout le monde a des pouvoirs, la super-vitesse devient banale.

 

Tijuana Bibles Bookstore” est spécialiste des Bibles Tijuana, c'est-à-dire des premières bandes dessinées pornographiques underground mettant en vedette des figures notables.

 

“NDARIN” signifie Mandarin, vilain de Iron Man.

 

Sur la droite, les portions de mot BA/Sini sont une référence probable à Simon Bar Sinister, ennemi de Underdog.

 

 

Page 16 :

Case 1 : Les prostitués se nomment Miss April et Miss Ophidia.

On apprend, p/25, que la spécialité de la première est de faire des « April showers ». Ce qui fait penser aux « Yellows showers », pratique sexuelle à base d’urée. Je vous laisse chercher.

Ophidia est la prostituée à la peau de serpent, d’où son nom.

 

Case 2 : Gograh, le père d’Ernesto est une ancienne star du ciné, quand on le voit dans l’épisode 3, on devine que c’est un aka de Godzilla.

 

 

Page 17 :

Case 1 : Irma dit que le lieutenant Peregrine appelle Smax « The giant despair », référence au livre de John Bunyan A Pilgrim’s progress ou Le voyage du pèlerin.

Peregrine cite ce livre chrétien, cela est raccord avec son nom, pèlerin en latin, et avec ses convictions religieuses.

 

Case 4 : Les onomatopées "Snap," "Krackle," et "Pop" apparaissent sur le corps de Girl One. Ce sont aussi les noms des personnages des céréales Rice Krispies.

 

 

Page 18 :

Case 1 : Les noms des drogues sont aussi des références.

Amazo réfère à l’androïde éponyme de DC qui pouvait mimer les pouvoirs des autres.

Le sang de Mangouste réfère à une histoire parue dans Timely, ancien Marvel, dans USA Comics #1 en août 1941. Le super-héros « the Whizzer » obtenait ses pouvoirs d’une transfusion sanguine avec une mangouste pour le guérir d’une morsure de serpent (dont les mangoustes se nourrissent). Il est alors devenu super-rapide. En 41, on ne lésinait pas sur l’originalité de la création de pouvoirs ».

L’hyperdrène pourrait référer au Benzédrine, stimulant. L’hyperdrène pourrait donc être un hyper-stimulant.

 

 

Page 19 :

Case 2 : Sur le casque d’Irma Geddon (notez le jeu de mots, mais si, vous allez le trouver),

Il y a écrit « I am the NRA » où NRA veut dire « National Rifle Association », militant pour le port d’armes.

 

Dr Decibel est le nom d’un super-vilain vu dans Squadron Supreme.

 

Case 3 : L’inscription sur le mur fait une référence scabreuse au comic book de Marvel Giant-Size Man-thing publiée de 1974 à 1975.

 

Le clochard qui manipule le feu semble avoir un « 4 » sur son torse et serait donc Johnny Storm des Quatre Fantastiques.

 

La chanson diffusée à la radio clôture par « With great power comes great responsibility ».

Phrase-clé de Spiderman.

 

 

Page 20 :

Case 1 : Un comédien britannique s’appelle Bill Bailey.

 

 

Page 21 :

Case 2 : Le robot serait une cadillac rose. Le mot Motown dans son dos impliquerait donc la chanson Pink Cadillac avec la licence de la Motown sans vraiment que j’en sache plus.

 

L’autre personnage semble être une sorte de cyborg.

 

 

Page 22 :

Case 1 : Le Professeur Gromolko rappelle Le Dr. Sivana ou le Dr. Gargunza.

 

 

Page 29 :

Case 4 : Captain Billy est à Fawcett Comics qui publia Captain Billy’s Whiz-Bang.

 

 

Page 30 :

Case 1 : « All-Star » réfère par ses mots et son logo à DC et son All-Star Comics qui introduisit la JSA en 1940.

 

Sur la toute droite, un portrait du Professeur Chares Xavier des X-Men avec l’inscription Cere Brau, aka Cerebro, machine lui permettant de détecter les mutants.

 

L’homme avec sa visière sur la gauche ressemble à Cyclope des X-Men, issu d’un monde alternatif ?

 

La serveuse se retrouve à la fin de l’épisode 5, dans le resto Krakatoa’s.

 

Case 3 : Daredevil dans son costume jaune.

 

 

Pages 31 :

Case 2 :beaucoup d’idées pour ce personnage assoupi mais j’opte pour celle d’un Zander Cannon endormi, le “Z” sur son torse et un canon à la main. Zander Cannon est l’encreur de Top Ten. Il fut ensuite le dessinateur de Smax et le scénariste de la saison 2 de Top Ten.

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28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 11:14

America’s Best Comics, ou ABC.

Voici le label le plus intéressant des dernières années.

America, assez paradoxal quand on sait qu’ils sont tous écrit par l’anglais Alan Moore.

Mais Alan est prêt à cette petite concession, dire que ses comics sont faits pour l’Amérique, pour faire son jeu de mots abécédaire ABC. Et Mettre ABC pour Alan’s Best Comics semblait sûrement un peu trop pompeux. Surtout après The Watchmen.

Pourtant, ces séries n’ont pas à rougir de leurs prédécesseurs. Alan a fourni un travail formidable sur le label ABC et nous allons nous pencher sur mon comics préféré, celui dont ne se lasse pas après plus de 20 lectures : Top Ten.

 

Top Ten, c’est comme lire une excellente série télé policière qui condense tout ce qui existe en pouvoirs et êtres étranges. Nous suivons, au sein d’un commissariat un peu particulier les différentes enquêtes menées et comme Robyn Slinger, nouvelle recrue, nous découvrons ses collègues, la ville de Néopolis et ses habitants.

Petit détail, tous les habitants ont des pouvoirs.

Quand je dis « condense », c’est plus que vrai et c’est la grande force de ce récit paru en 12 épisodes. L’œuvre est d’une densité folle tout en étant parfaitement lisible. 

L’épisode 1 en est l’exemple parfait. On se concentre d’abord sur la protagoniste de cet épisode, Robyn alias Toybox. Comme elle, on essaye de retenir le nom de ses équipiers, on tente de comprendre comment ça se passe pour la police en ville. On entend des informations partir dans tous les sens, on suit le mouvement mais finalement, on ne retient que l’essentiel

« Ma journée ? Ben, mes collègues, ce sont des chiens, des lesbiennes ou des satanistes, mais ils sont sympas. »

On n’est pas encore trop concentré sur les enquêtes.

 

Quand je dis « condense », cela concerne aussi les types de personnages possibles. Tous les archétypes du super-héros sont représentés et quand on commence à lister la chose, on s’aperçoit qu’elle est très grande. Vous y retrouvez du super-héros lambda, le plus classique, du super-héros sans pouvoir mais avec des gadgets (Lieutenant Peregrine par exemple), des robots, tous les monstres imaginables (dinosaure, loup-garous, vampires,…), des extraterrestres, des animaux parlants (Kemlo), des êtres d’autres dimensions, des dieux ou encore des êtres créés de toute pièce (Girl One)

La capacité à avoir contenu ces genres en si peu de pages est un exploit. Rendre tout cela cohérent et parfaitement normal en est un autre.

 

TopTen12

 

A cette densité de personnages (Alan Moore met en avant, tout de même, 20 employés du commissariat Top Ten) s’ajoute une densité de détail. Et c’est là que l’on salue l’excellent travail de Gene Ha. D’abord sur ses personnages principaux aux looks incroyables et pourtant semblant tout à fait crédible. Ensuite par le nombre incalculable de références à des comics, séries TV, etc distillés tout au long de l’œuvre.

Et ceci est un grand plaisir fait aux lecteurs qui s’amusent à trouver à qui correspond le personnage en haut à gauche de la case 2 de la page 11 de l’épisode 3.

 

Une fois ces 12 numéros finis, la relecture vous plonge dans une autre vision du récit. Vous pouvez vous concentrer avec plaisir dans les premiers numéros aux petites phrases qui vont amener telle ou telle situation, repérer quel tel personnage principal, apparu tard, étant en fait bien présent dans les premiers épisodes. Ce genre de détail montre une vision à long terme de l’histoire, et non par a-à-coup, et prouve la rédaction pensée de tout, depuis le début.

 

Paru initialement chez Semic en 3 volumes, Top Ten est de nouveau publié en deux volumes chez Urban Comics. Jetez-vous dessus sans sourciller.

 

Quant à ceux qui pensent que je n’ai pas tout dit sur Top Ten, détrompez-vous !!!

Comme pour ceux qui ne connaissent pas et qui trouvent que 12 épisodes, c’est assez court  finalement.

Il existe quatre autres récits dont je développerai le sujet plus tard : Smax, Top Ten : The forty-niners et Top Ten : Beyond the farthest precinct et surtout une saison 2 de Top Ten en 4 épisodes encore inédite en France.

 

Une deuxième partie vous montrera différentes références trouvées dans la série.

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19 mars 2012 1 19 /03 /mars /2012 15:42

La quatrième équipe créative de Cliffhanger ! publiée chez Semic a sans doute produite ma série préférée parmi celle proposé par ce label. Il s’agit de Steampunk.

 

Difficile d’accès, nécessitant de se pencher longuement sur certaines cases si l’on souhaite saisir les détails, Steampunk n’est pas seulement une série pour le plaisir de plisser les yeux sur le trait de Chris bachalo, c’est aussi une histoire au style Steampunk, d’où son nom, dans une Londres victorienne encore dominée par l’énergie issue de la vapeur intelligemment écrite par Joe Kelly.

Cole Blaquesmith, héros amnésique, se retrouve comme sorti d’hibernation et porteur d’un bras droit métallique qui fait fureur auprès des badauds. Plutôt logique, cette prothèse originale conviendrait mieux aux riches londoniens qu’aux pauvres misérables dont il semble faire partie à la vue de son accoutrement.

Londres, dirigé par lord Absinthe, homme dément et exubérant, se voit offrir un univers innovant, peuplé de petites machines fonctionnant au charbon et l’insertion dans son atmosphère victorienne est immédiate. Quant à son dictateur fou, il fera tout pour assassiner Cole. Il faut dire qu’ils se connaissent depuis un bail et qu’ils ont des comptes à régler.

 

Avec ses personnages secondaires tout aussi réussis que son protagoniste, en 12 numéros, Steampunk permit de prouver que Cliffhanger ! restait un label intéressant pour les auteurs souhaitant se mettre au creator-owned.

Hélas, là aussi, cette série se conclut par la fin de l’acte Deux alors que l’on sait pertinemment qu’elle doit, au moins, comporter un acte Trois.

 

steampunk12

 

Une des spécificités de cette série est l’intégration de certaines couvertures à la trame de l’histoire puisqu’elle propose une autre image d’une des scènes qu’elle contient.

Ces couvertures permettent de jouer entre « ce qui est vu » dans la BD et « ce qui désire être vu » en couverture par l’un des personnages.

Ce procédé permet de livrer les pensées de certains personnages tout en restant très connoté.

C’est l’une des forces de la série, ses personnages très bien construits. Victoria en est la parfait archétype. Elle change de dimension au fur et à mesure du récit si bien que pendant un temps, on ne sait plus de quel côté elle penche.

 

Vraiment, jetez-vous là-dessus pour lire une BD non conventionnelle esthétiquement et au scénar’ bien barré, comme certains petits délire de Bachalo (tortue-fusée et chien à roulette).

C’est ça l’évolution Baby !

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 17:30

Troisième série, parue un mois après Danger Girl mais un mois avant Crimson, chez Cliffhanger !, Battle Chasers fut, par la renommée de son auteur, un événement sûrement un poil plus important que les comics de ses comparses.

 

Joe Madureira, dessinateur à l’ascension fulgurante chez Marvel, rejoignit Image pour narrer sa propre histoire, Battle chasers, avec l’aide de Munier Sharieff.

L’histoire, dans le pur style heroic fantasy, est celle de Gully, fille du célèbre guerrier décédé Aramus, sauvée in-extremis par Calibretto, robot humaniste et écolo, d’un groupe de loup-garous. Ces derniers cherchaient à récupérer ce qu’elle avait avec elle, les gants herculéens de son père. Aidé du « maître » de Calibretto, le sorcier Knolan, ils partent tous les trois à la capitale régler cette étrange affaire.

De l’autre côté de la scène, Garrison, l’ancien compagnon d’armes d’Aramus tente de cuver son veuvage pendant que la plantureuse chasseuse de primes Red Monika lui propose un job qu’ildécline.

 

  BCPoster.jpg

 

Sur des bases simples mais efficaces (des personnes différentes mais complémentaires se croisent et font équipe, le temps d’un chemin, parfois plus), Mad nous gratifie de planches superbes, de personnages charismatiques et intéressants graphiquement.

Les méchants se succèdent rapidement (Brass Demur, Cranius, Bulgrim, Sebastius Nefar, L’emprunteur et August) mais leur apparition est souvent intéressante et, soit l’origine est suffisamment décrite pour nous satisfaire, soit le peu que l’on en sait est suffisant pour nous faire saliver et espérer en savoir plus à son sujet dans la suite du récit. Seule exception à cette règle, sûrement le sorcier Cranius qui ne semblait pas fait pour durer.

Ah… la suite du récit, voilà hélas tout le nœud du problème de Battle Chasers.

Avec neuf numéros parus et une addiction réussie de son lectorat, on ne peut qu’être déçu que le Joe est coupé court à son histoire. De temps en temps, il avoue qu’il aimerait s’y remettre mais cela reste à ce jour lettre morte.

Et c’est bien dommage car l’eau à la bouche, on l’avait et l’on a toujours.

August, le personnage qui semble s’afficher comme le grand méchant de la série n’est pour l’instant qu’un Voldemort des premiers tomes d’Harry Potter, on le voit peu mais il promet beaucoup.

Le passé de Knolan, lié fortement à August, justement. On aimerait en savoir plus.

Aramus, le héros de la guerre, lui-même, a des affaires du passé que l’on aimerait connaître. Il porte une belle part sombre qu’on ne demande qu’à fouiller. C’est par ses petites touches que ce récit est intéressant car pas si manichéen

 

Battle Chasers, c’est une très belle série, au scénario bien pensé, qui, à défaut d’être mort dans l’œuf, s’est retrouvé prédater à l’état de poussin. On en a vu suffisamment pour connaître son potentiel et sa qualité mais la série, fort de son succès, a quand même quasiment disparu faute à son producteur qui n’arrive pas à s’accrocher à la progéniture de sa poule aux œufs d’or.

Ainsi, son trait est toujours garant d’un succès commercial mais il ne s’accroche plus assez pour transformer l’essai en séries phares, achevées et marques pérennes d’une époque comme il a su le faire sur Uncanny X-men quand il avait encore l’envie et la rage de ses 17-18 ans… même s’il ne s’occupait que du dessin à cette époque.

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 17:06

Et si les James Bond girls avaient le pouvoir ?

 

Voici, en deux mots, comment on pourrait résumer le thème de cette série.

 

Imaginez de sexy ladies agents secrets, faîtes-en une équipe, ajoutez une bonne pointe d’humour, des méchants nazis et vous obtenez un mix très sympathique penchant autant du côté de 007 que d’Indiana Jones. Et vous allez adorer.

 

D’ailleurs, en parlant de 007, notons que les créateurs de la série, J. Scott Campbell au scénario et dessins et Andy Hartnell au scénario et script, ne sont présents que sur les sept premiers épisodes. Mais rassurez-vous, ils constituent un arc complet et surtout, il représentent l’essence de la série.

Le reste correspond à des mini-séries orchestrées par des collègues du comic book. On  retrouve juste assez souvent Andy Hartnell à l’écriture de ces autres histoires : Danger Girl : Back in Black ; Danger Girl : Body Shots et Danger Girl : Revolver. Bien souvent, J. Scott Campbell fait les couvertures des mini-séries.

 

Aparté terminé, revenons à Danger Girl herself !

 

danger girl 1

 

Les premières pages de cette série ont l’avantage de vous mettre dans l’ambiance immédiatement. Abbey Chase, exploratrice à la recherche d’objets antiques, en situation périlleuse, se voit sauvée par un groupe de « Drôle de dames ». Adrénaline retombée, on lui demande d’intégrer cette petit bande, le temps de récupérer des antiquités bien particulières et qui pourraient intéresser les derniers groupuscules nazis pour revenir conquérir le monde.

Hommage et Humour, voici en deux mots la caractéristique de Danger Girl. Avec les dessins de Campbell, sexy tombe sous le sens comme troisième dénomination de cette série.

 

Hommage à l’agent secret britannique le plus connu du monde. Il n’y a qu’à voir le premier épisode à la double-page remplies de postures de James Bond girl ; Bond carrément cité par Abbey Chase quand elle rencontre Deuce, soit Sean Connery avec des cheveux longs.

Hommage à Indiana Jones par son prélude au crâne d’or, ses reliques antiques à récupérer avant les nazis, ennemis typiques du Dr Jones.

 

Ces hommages, clairement assumés, sont une réussite et permettent au lecteur de savoir dans quel sens la série se dirige. Le lecteur ne sent trahi à aucun moment.

 

Autre réussite, le chara-design des personnages, tant du côté des héroïnes que des méchants. Bon, ok, surtout les méchants. Car même si les héroïnes sont superbes et que Deuce, Johnny Case et Zero sont bien étudiés, les méchants ont vraiment des tronches ! Là aussi, l’hommage aux films cités auparavant est évident et leurs styles sont particulièrement jouissifs.

Campbell s’est énormément fait plaisir sur cette série et ça se voit.

 

Côté scénario, sûr que c’est plutôt manichéen mais des fois, ça fait du bien. On suit ça comme une grosse production, on se laisse porter, on s’extasie sur les péripéties et les situations dangereuses et surtout, on ne se prend pas la tête. J’avoue avoir pris beaucoup de plaisir à dévorer Danger Girl, toutefois, sa suite traduite dans l’hexagone, Danger Girl : Kamikaze, ne me laisse pas un souvenir impérissable.

 

Je ne peux donc que vous conseillez de lire la série initiale, Ensuite, libre à vous de vous pencher sur le reste et de d’y voir comment l’univers s’est développé. On espère tout de même voir un jour les autres mini-séries en français.

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11 janvier 2012 3 11 /01 /janvier /2012 23:04

Le premier intérêt de Crimson fut que dès le début, on savait que c’était une série limitée. Ah !!! Quel plaisir de savoir que ce que l’on tient entre les mains va avoir un début, un milieu et une fin. Le problème des comic books est généralement qu’ils sont des on-going series. On en voit le début, mais jamais la fin.

Ici, le nombre de numéros avait été annoncé rapidement. Cela montrait un souhait de structurer le récit, de respecter les deadlines et de ne pas prendre les lecteurs pour des ânes qui ne verront jamais la fin (ces deux derniers points noirs sont d’ailleurs devenus « l’emblème » de Cliffhanger!, à regret).

 

L’histoire est celle d’Alex Elder, jeune ado new-yorkais, qui devient un vampire. Mais pas n’importe quel vampire, l’élu ! L’élu à quoi ? A faire le ménage semble-t-il. Pas le ménage avec aspirateur et plumeau, mais le ménage de tous les êtres étranges qui peuplent le monde (et dans Crimson, le monde s’arrête au tunnel Lincoln, c’est à dire à New York city).

Il rencontre plein de gens, Ekimus, son mentor, Joe, le vampire à la cool, Scarlet (pas la Johansson), tueuse de monstres vampires inclus, Georges, le policier possédé par un saint et pour ennemi, le sénateur Van Fleet, vampire politicien (pléonasme ?).

Voici le quintet de tête qui entoure notre héros. Présents tous dès les premiers numéros, les auteurs les ont intégré plus ou moins forts au récit en fonction des événements à suivre mais ils nous les ont tous quand même placé pour bien sou-entendre qu’ils jouent un rôle depuis le début.

Dans les personnages secondaires, nous avons les fameux Jelly Bats, qui forment les premiers ennemis du héros et sont responsables de sa nouvelle vie. Groupe vraiment très bien mis en valeur avec un fort chara-design pour chacun, on s’aperçoit finalement qu’ils restent anecdotiques sur la série et ne représentent que l’éveil du héros. On peut tout de même remercier les auteurs et tout particulièrement Humberto Ramos pour avoir dessiné des personnages si forts que l’on se souvient d’eux en premier comme ennemi d’Alex. Preuve que le début avait été soigné pour accrocher les lecteurs. Nous avons ensuite les Archanges, mystérieux mais plutôt cools. Si on veut en savoir plus, il faut chercher dans des livres et sur internet. J’aime ce concept aussi de ne pas tout le temps tenir la main du lecteur et de lui offrir la possibilité de chercher par lui-même s’il veut en savoir plus sur les rôles de chacun  dans la Bible, sur Uriel, Raphaël, etc. En ange, on a aussi l’ange déchu Zophiel qui intervient beaucoup plus tard mais qui amène un vent frais et intéressant. Du côté des méchants, les Templiers font leur entrée ainsi que les dragons et Lilith, la mère de tous les vampires.

 

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Cela commence à faire beaucoup d’intervenants mais l’on s’y retrouve sans problème. Tout le monde s’affronte dans une bataille épique finale qui ravit le lecteur.

 

Alors, dans ma mémoire, cette série avait une belle place, celle d’un titre réussi et dont le scénario était très bon. L’ayant relu ces derniers jours, mon avis s’est quelque peu teinté.

Deux raisons à cela, j’ai vieilli et je perçois mieux maintenant les quelques facilités scénaristiques des auteurs (quand les choses tombent pile-poil au bon moment ou au bon endroit). J’ai trouvé le récit plus simpliste aussi que ce que j’avais en tête. En même temps, il faut relativiser, du comics estampillé Cliffhanger!, c’est pas fait pour réfléchir mais vraiment pour divertir. Deuxième raison, elle suit cette dernière remarque. Dans Crimson, la première fois, j’avais appris beaucoup de choses (le mythe de Lilith, St Georges, la fonction des sept archanges, etc) et avais approfondi mes connaissances par des ouvrages extérieurs. Cette fois, je relis toute la série en possédant déjà ces bagages, j’ai alors l’impression de réviser une leçon et cette transmission que donnent les auteurs n’existe plus.

A cela reste immuable les dessins de Humberto Ramos et une mise en couleurs que j’affectionne particulièrement. Une réelle évolution des personnages, Scarlet X en est l’exemple le plus frappant, qui met en valeur l’œuvre. Une agréable lecture toujours fluide et typiquement comic books.

 

C’est pour ça que je recommande Crimson, 14 numéros sont sortis en kiosque avec pour les trois derniers des extraits sublimes d’un sketchbook. De plus, Humberto Ramos est à Angoulême pour cette année 2012. Alors, lui parlait d’un de bébés devrait lui plaire (Out there aussi je pense, titre d’ailleurs visible dans le dernier épisode de Crimson).

Alors, si par hasard vous tombez dessus, n’hésitez pas ! Essayez cette série !

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