Croiser Richard Isanove est toujours un plaisir. Il vient à l'improviste, fait des dessins à l'improviste mais son trait n'est oas du tout improvisé.
Si vous voulez le croiser, faut squatter du côté de Panini.
Croiser Richard Isanove est toujours un plaisir. Il vient à l'improviste, fait des dessins à l'improviste mais son trait n'est oas du tout improvisé.
Si vous voulez le croiser, faut squatter du côté de Panini.
Voilà typiquement le genre d'auteur qu'on fait à la bulle des auteurs coréens mais dont on ne connaît pas le travail.
Ce dessin a un côté film d'épouvante, brrrrrr !!!!!
2008 toujours, au petit bonheur la chance, je me suis mis dans la queue Dargaud pour Guarnido et il enchaînait tellement vite les dédicaces que c'est passé.
J'avoue avoir peu de souvenir de cette rencontre.
En 2008, chez Panini, l'auteur que je voulais absolument, c'était lui ! Son style réaliste est vraiment bluffant et en même temps très reconnaissable.
Je voulais lui demander Miss Hulk, vu qu'il était artist-cover dessus mais dans sa version avocate. Je trouve qu'elle est vraiment réussie.
Ou Diablo pour les francophones !
Alors, avoir un Del'otto, c'est toujours une victoire chez Panini, même s'il est régulièrement venu. Je ne fais pas partie de ceux qui le voulait à chaque fois.
Voilà un artiste bavard, qui a plus tendance à discuter avec ses collègues qu'avec ses fans, ça fait un peu bizarre. En même temps, des fans qui papotent, y en a pas tant que ça, donc il a bien raison.
Le mec est cool et chaque fan de comics pourra vous raconter une anecdote concernant cet auteur au cours d'un festival.
Bref, je suis super content de l'avoir rencontré et j'ai quand même l'espoir de le recroiser pour lui demander un perso de la Bat-gallery.
Chez Panini, on aime ramené des auteurs de comics italiens. Faut dire, le staff est composé majoritairement d'italiens, donc on ne se casse pas la tête (oui, ça a changé depuis).
Mais toujours est-il que chez les auteurs transalpins, on n'a pas mal de monde qui dessine chez les pointures. Même si vous ne connaissez pas encore Riccardo Burchielli (qui ressemble étrangement à un bon pote à moi), cela ne vous empêhce pas de découvrir son oeuvre majeure transatlantique, DMZ, une série sur un New York en proie à la guerre civile, sur un scénario bien ficelé de Brian Wood et qui s'est jsute achevé.
J'avoue qu'au moment d ema recontre avec l'auteur, janvier 2008 donc, je ne connaissais pas la série, et donc, comme tout cave qui se respecte, je demande autre chose que sa série phare. C'est là que tu vois les auteurs bien gentils qui disent oui à tout, du moins, à ce qu'ils connaissent assez pour le dessiner. Et lui, c'était plutôt de l'Iron Man.
Donc voilà !
Réalisé sur le tome 1 de Amère patrie, c'est en voulant rencontrer Lax que j'ai atteri sur cet album où il scénarisait et où Frédéric Blier dessinait. La rencontre était agréable (savoir comment le projet s'est créé) et au final l'auteur m'a fait une très belle dédicace, pas facile parce qu'un vélo, ce n'est pas si simple à représenter, et une très bonne surprise.
Voilà avec quoi j'entame Angoulême 2008 (et oui, rien d'autre en 2007 qu'Angoulême, je me suis désintoxicé du syndrome de chasseur).
Bone, le premier comic book indépendant que j'ai lu. ça m'a tellement plu que j'ai suivi assidûment la série, achetant le tout en coffret.Le récit est d'une rare intelligence, comme sur un ton humoristique et finit sur une aventure épique à The Lord of the rings.
Bone, c'est voir le travail d'un seul homme, Jeff Smith, de A à Z. C'est aussi la possibilité depuis peu de suivre ces aventures en couleur (pour info, c'est bien un choix de l'auteur plus q'une stratégie commerciale) quand, au début, tout était en noir et blanc pour réduire les coûts.
Avec Tim Sale, c'était l'autre auteur que je voulais absolument, j'avais bien réfléchi à ce que je voulais et où je le voulais, comme si la dédicace s'intégrait à l'histoire et vous montrait pendant ce temps-là ce que fait Mach Far.
Voilà un auteur que j'ai eu plaisir à rencontrer.
Aussi présent que Lord Shion dans le magazine Shogun Mag, Shonen a accepté un dessin sur feuille blanche et le rendu est vraiment épatant. Ce sont des auteurs avec qui j'aimerais bien travaillé en fait parce que, oui, le talent est là.
Alors, là, j'ai tenté au petit bonheur la chance sur une feuille blanche en enchaînant derrière une bande de lycéens sans le sou pour faire style "je suis comme eux, d'ailleurs, je suis avec eux" et c'est passé, ouf !
Quand je pense depuis qu'il réalise des films et que sa notoriété a grimpé. C'est un peu comme Joann Sfar, fallait avoir la chance de leur demander maintenant parce qu'après, ce serait beaucoup plus compliqué.